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omme n’étant pas du monde. » Et cette formule, me
semble-t
-il, fournit la clé. Précisément parce que la place de l’écrivain n’es
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aggravé le chaos mondial. Ainsi l’idée de Progrès
semble
contradictoire dès qu’on tente d’en mesurer les effets historiques. I
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s, parfois incompatibles. Et ce fait initial nous
semble
accidentel, j’entends qu’il serait vain d’essayer de le déduire d’une
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, ne peut être que celle de Dieu, même quand elle
semble
nuire au groupe, à la tribu, à leurs lois et coutumes sacrées, que l’
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e traités de mystiques originaux. La vie sexuelle
semblait
réduite à l’obscure animalité. Le mariage ne posait que des problèmes
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on temps. Les confusions de notre langage courant
semblent
parfois assimiler l’amour au sexe, mais elles proviennent d’une conta
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er degré de l’abstraction et de l’audace logique,
semble
en voie de rejoindre en perspective l’extrême de l’amour intuitif : l
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Européens au climat tempéré qui — je le cite — «
semble
avoir tout fait pour hâter les progrès de la civilisation ». Plus réa
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uire. On voit combien, dès ces temps fabuleux, il
semble
difficile de savoir « où est l’Europe », si l’on entend seulement la
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porteur de l’histoire du monde ! — tout en lui me
semble
illustrer les traits fondamentaux de notre Europe, légendaire, histor
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ses auteurs, c’est-à-dire contre l’Occident ? Il
semble
qu’un des héros de la plus ancienne poésie grecque symbolise au mieux
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Afrique ou en Asie. Donc, à court terme, il peut
sembler
que leurs chances soient meilleures que les nôtres. Le tiers-monde le
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péen, de Spengler à Toynbee et de Sorel à Sartre,
semble
avoir persuadé nos élites comme nos masses que l’Europe est une pauvr