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itarisme a triomphé surtout pour deux raisons, me
semble-t
-il : D’abord il a utilisé le défaut de civisme qui résultait de la de
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ues qui ont bien voulu me le faire sentir. Il m’a
semblé
que je devais aux uns et aux autres une brève explication, dont l’int
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r sur le bûcher au mépris de la parole donnée. Il
semblait
que la chrétienté se regroupait, non sans résignation, autour du sièg
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aison que toute l’évolution intérieure de Nicolas
semblait
appeler comme une fin obscure et pourtant obsédante. Vie libre d’un l
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e sens fédéral paraît renaître parmi nous, il m’a
semblé
que la vie du Frère Claus prenait une valeur de symbole, et non seule
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ant de l’action ? Et que va faire la culture ? Il
semble
que la société devienne trop gigantesque pour être dominée d’un seul
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stianisme devenu passif devant le monde. Or il me
semble
que, là encore, un réveil soulève les Églises. Elles ont compris qu’i
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rétienté naissante, quand tout, comme aujourd’hui
semblait
perdu, Athanase prononça cette parole : Nubicula est, transibit — c’e
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é n’était rien d’autre que ce que le Suisse moyen
semble
croire aujourd’hui, il ne faudrait pas s’étonner qu’elle impatiente d
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entre nos pays et leurs régimes, concorde qui ne
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pouvoir être assurée que par l’équilibre entre les grandes puissances
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contributions à l’unité. Sur ce plan général, il
semble
difficile de soutenir que la neutralité représente un apport positif
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Les efforts pour unir l’Europe se multiplient. Il
semble
que les obstacles qui s’opposent à une fédération européenne se font
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réfléchi à ces perspectives, du côté chrétien, me
semblent
enclins à considérer comme un malheur, voire une catastrophe, cette p
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ait en quelque sorte livrée au « monde » ? Ce qui
semble
effrayer beaucoup de ces observateurs, c’est l’idée que s’il devait e
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de tant de recettes et d’ordres assénés qu’il me
semblait
, d’un exercice à l’autre, n’avoir fait de progrès que dans la découve