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int de perdre toute efficacité dès la 2e page. Il
semble
que M. Paul s’adresse exclusivement à ce bourgeois au faciès atroce q
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alité, mais qu’elle s’est arrêtée au moment où il
semblait
qu’elle dût s’occuper de la durée du travail, de la question des sala
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uritain qu’ils veulent combattre ? Cette critique
semble
pouvoir s’appliquer également au groupement tout récent qui s’intitul
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jusqu’ici d’édifier une doctrine originale. Elle
semble
reculer devant les conclusions radicales, par suite sans doute d’un m
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ant. Et la tristesse. « Le temps vuide » Il
semble
que la condamnation portée à l’origine des temps sur le travail-néces
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oise, celle qui est née avec le romantisme, il me
semble
qu’on peut distinguer trois espèces de littérateurs. Première espèce
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e aussi est vrai. À peine moins autobiographique,
semble-t
-il, que celui du jeune homme de tout à l’heure. Mais ici c’est un ouv
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mat standard : 224 ou 600 pages exactement. Il me
semble
que ce conformisme, dont on sait les raisons commerciales, couvre pas
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des êtres, enfin cette qualité de discrétion qui
semble
ici encore imposée par l’objet du livre. Roger Breuil nous révèle une
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Mais Staline, on le sait, a condamné Einstein. Il
semble
bien que ces « barrages » et ce conformisme brutal soient en train de
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e. Mais pour l’affaire qui nous occupe ici, il me
semble
qu’il est suffisant de relever l’autorité que cette erreur confère au
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lestés par l’époque avec une vigueur qui devrait,
semble-t
-il, les réveiller. Toute notre formation scolaire et universitaire re
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e, le défaitisme, et les dégoûts mal formulés qui
semblent
déprimer depuis deux ans l’intelligentsia parisienne, pourraient bien
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ne le font les scandales qu’ils dénoncent. Il me
semble
parfois que la meilleure éducation du genre humain consisterait en un
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ne les aime pas en tant que “primitifs” comme on
semble
le croire : il ne faut pas être seulement un primitif, il faut être a
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os du roman d’un débutant : « Les personnages n’y
semblent
naître et se nourrir que de la fièvre de l’auteur. » N’est-ce pas, en
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ur le plaisir de conter ? Trop de détails intimes
semblent
destinés à faire vrai, et à prouver que l’on n’invente rien de ce tou
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araîtra sans doute qu’à nos après-venants. Ce qui
semble
certain, dès aujourd’hui, c’est que les effets d’une cause de cet ord
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superstitieuses ». En y regardant de près, il me
semble
que toute la trame de mes petites décisions quotidiennes est faite de
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ix fausse, et m’a beaucoup remercié. Bref, il m’a
semblé
que tout s’était bien passé. Je me trompais. C’est la mère Calixte qu
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continuer à vivre, et à manger, et à laver, il me
semble
? — Je ne pense pas comme vous, Monsieur, mais il a tort pour la less
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d, et pourquoi il s’occupe d’un personnage qui ne
semble
exciter ni sa réprobation ni son enthousiasme. C’est ce que l’on nomm
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tement, c’est cette étrangeté même de l’objet qui
semble
l’avoir retenu, et elle lui pose des questions personnelles qu’il for
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si grave problème en quelques lignes. Mais il me
semble
nécessaire de préciser au moins le lieu de la véritable opposition. L
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rouve enfin sa plus profonde raison d’être. Or il
semble
bien que la mystique occidentale, catholique ou protestante (Swedenbo
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t pas. » 77. La Genève des beaux jours de la SDN
semblait
devoir renouveler son rayonnement. Asile ou lieu d’élection d’Europée
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Institut Rousseau) et de psychanalyse… Mais il ne
semble
pas que les Genevois aient su reconnaître à cette heure-là la renaiss
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eure où cet ouvrage touche à sa conclusion, il me
semble
que son dessein le plus secret m’échappe encore. L’aveu sera jugé ins
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i en note) c’était le seul point à marquer. Il me
semble
qu’en général on l’a compris comme je le pensais : ce n’est point le
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en point abuser. C’est d’ailleurs très facile, me
semble-t
-il. Soyez honnêtes dans les négociations, comme le fut votre Herriot,
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ne voit que le drame algérien. » Les deux phrases
semblent
dire la même chose. Un lecteur non prévenu s’y tromperait, mais pas v