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inir sa vie en même temps que celle du monde ? Il
semble
qu’il y ait là quelque consolation. L’amertume de mourir est aussi fa
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fin de la douleur du monde. Certains jours, il me
semble
que la folie des peuples, des gouvernants, des militaires, et de tous
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crivains, car après les avoir entendus, il nous a
semblé
qu’ils étaient dirigés plus par la crainte du communisme que par le s
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s’affronter sur notre vieux continent. Il nous a
semblé
intéressant de considérer avec Denis de Rougemont l’œuvre entreprise
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opéen. S’il est vrai que la cause européenne, qui
semblait
endormie, ou qu’on croyait perdue, s’est réveillée par l’intervention