1 ors mythique, au sens où je l’entends ici. Il m’a semblé que le rapprochement de ces trois mots : mythe, événement, réalité, é

2 . La mémoire des offenses est la plus sûre. Il me semble parfois qu’il n’est pas de louange préférable à celle-ci : qu’on me f

3 et l’on voudrait savoir que vous le savez… Il me semble que vous manquez de méchanceté pour vos idées. Elles vous séduisent d

4 L’auteur. Dès que l’on pose cette question, il me semble qu’on se voit condamné à des réponses ou plates ou mystérieuses. Ne s

5 une convention aussi commode. Le critique. Il me semble qu’il faut y voir une garantie contre les illusions de la rhétorique

6 imple bonheur, de ce bonheur dont tous les autres semblent détenir le secret, jalousement, méchamment, contre lui. Je dis bien l

7 é sociale aussi parfaite, nous pourrions déduire, semble-t -il, une aberration maximum. Pour confirmer notre soupçon sur la natur

8 sède, c’est naturel, mais non qu’on en ait honte, semble-t -il. En vérité la mauvaise pudeur provient de ce que le corps et l’âme

9 u vertige. Le jugement peut rester libre, mais il semble que l’âme s’extériorise et tombe sans fin dans le regard unique. Dura

10 je n’y puis rien. Avec autant de sincérité, nous semblait -il, qu’un croyant décrivant sa conversion en termes de grâce et de pr

11 e gêne me vint, le sentiment de mal tomber. Il me sembla que mes propos touchaient mon interlocuteur d’une manière un peu trop

12 ut, dans ses livres — surtout les plus sincères — semblait exclure les préoccupations que trahit son journal intime. Peut-être l

13 éraflures et les ongles rognés ou cassés. Épuisé, semble-t -il, haletant et suant, il se jette dans la lutte et le voici vainqueu