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imultanées, avec des hommes que par ailleurs tout
semblait
opposer sans recours : de Karl Barth à André Breton ou au Père Teilha
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décidé que le mot Dieu n’a plus de sens ? Et qui
semblent
persuadés que les mots Église, salut, vocation, foi, obéissance, ador
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à la suite de Nietzsche que « Dieu est mort ». Il
semble
bien que ce soit là le thème central (plus central même qu’ils ne vou
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— vers le xixe siècle spécialement ! – et qui ne
semble
plus faire de place aux interventions réelles du transcendant. Je vou
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prévalant de l’autorité de la Parole de Dieu, qui
semble
couvrir et garantir cette marchandise de pacotille petite-bourgeoise.
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e.t Quant à nos lieux de culte, également, il me
semble
qu’on les a sécularisés là où il ne fallait pas, et rendus ésotérique
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clure, je voudrais donner une illustration qui me
semble
extrêmement importanteu. Ce n’est point par hasard, ce n’est point pa
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t que le totalitarisme a rompu la paix fausse qui
semblait
établie entre les sociétés laïques et les Églises ; qu’il a brusqueme
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iales, culturelles, politiques ou économiques, il
semblerait
bon de fixer certains principes ou stades intermédiaires entre la thé
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table) de leur contexte vécu. Au contraire, il me
semble
que la liturgie définit ces mêmes termes d’une manière synthétique, d
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jeune. Or le fait est que l’évolution liturgique
semble
presque arrêtée depuis des siècles. La messe romaine a été subitement
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rteurs eux aussi d’une mission que rien en eux ne
semblait
préparer. On peut le dire sans paradoxe : Israël n’eût pas eu d’histo
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is fidèle Un homme du xixe siècle ne peut, me
semble-t
-il, qu’éprouver une sorte d’effroi au spectacle d’un ordre social, sp
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les masses, tandis que la prédication chrétienne
semble
réduite, dans la cité, aux proportions d’un chuchotement intermittent
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iens protestants, anglicans et orthodoxes. Il m’a
semblé
que ce titre, dès lors qu’il était proposé par des chrétiens précisém
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remarque est de nature beaucoup plus grave. Il me
semble
que la beauté n’est pas une notion ni un terne biblique. La Bible nou
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aimables. Mais des œuvres toutes différentes, qui
semblent
n’avoir d’autre objet que d’évoquer le désordre présent, le chaos et
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ion chrétienne sur l’acte et l’œuvre de l’artiste
semble
pouvoir s’approfondir, s’informer et s’instruire dans le cadre d’une
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urgeoise, ou sur l’envie de les contredire. Il me
semble
que des tentatives dans ce sens vaudraient la peine d’être risquées —
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e leur attribuer au xixe siècle. Cette évolution
semble
parallèle à celle de la sexualité qui, avec l’époque chrétienne, se d
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refusant l’accomplissement où il s’apaiserait. Il
semble
que la violence de la passion soit en raison directe de la solidité d
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ce d’autre part, et surtout la pauvreté générale,
semblent
avoir stabilisé provisoirement la situation matrimoniale en URSS. Mai
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oman victorien en est le meilleur exemple.) Or il
semble
que nous entrions dans une période de mœurs sexuelles faciles ou relâ
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n, ce qui était utile aux maîtres. La religion ne
semblait
plus gêner personne27. Elle sanctionnait et protégeait l’ordre établi
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ionnent les masses incroyantes. Il se pose là, me
semble-t
-il, une question de solidarité, qui est une forme de la charité. Parf
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rroi : autant de causes de faiblesse et de ruine,
semble-t
-il. Et pourtant, c’est tout cela qui a fait l’Europe. Et cette Europe
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par l’autre, ces deux révélations « uniques » qui
semblaient
au début exclusives et totales. Appliquer l’analyse marxiste au milie
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nières années. Un certain déterminisme économique
semblait
nous conduire sans merci vers le triomphe du plan total, ordonnant to
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es temps et pour toutes les races de la Terre. Il
semble
donc certain que le mouvement œcuménique ne devra pas s’arrêter au pr
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du christianisme et que les traditions orientales
semblent
exclure. Tout ceci, non dans un esprit de tolérance mutuelle un peu c