1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 opéen, mais bien russe et américain, et tout cela semble bien vrai. Mais il n’est pas moins vrai que l’horizon d’un progrès to
2 econdaire de nos pays, les bases mêmes de l’union sembleront se dérober sous les pas des hommes politiques et des économistes. Car
3 tre civilisation. Or, voici que leurs prédictions semblent confirmées par les faits. Au cours des années qui suivent la Première
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
4 ’un système qui est bon pour les sauvages, et qui semble n’avoir été préconisé que par des traîtres à la République… Pratiquem
5 s volumes parus sur le sujet auraient dû suffire, semble-t -il, à clarifier un terme que le problème européen et nos situations n
6 la coexistence en tension de ceci et de cela, il semble que le danger d’interprétations partielles, donc ruineuses dans son c
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
7 ommerciale (laquelle ne saurait être positive, me semble-t -il, dans tous les pays à la fois…) ne sont pas le type même de faux p
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
8 iques et démographiques de notre temps. Ils ne me semblent pas confirmer que « l’évolution joue dans le sens de la nation », mai
9 t, j’improvisai sur le thème que voici : Il peut sembler curieux, Messieurs, qu’à l’âge de l’union des nations et des intégrat
10 ’on soupçonnera de favoriser la division, peuvent sembler logiquement contradictoires. Mais je les vois complémentaires, concom
11 us centralisé du continent et le plus allergique, semblait -il, au fédéralisme à base régionale, la République française une et i