1 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
1 s avec ces balivernes d’un autre âge ? » Or il me semble que ce sont eux qui s’y laissent prendre ! Fascinés par l’image tradi
2 péché étant devenu notre seconde nature, il peut sembler qu’il agit de soi-même et sans Auteur, en vertu d’une espèce d’inerti
2 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
3 r tous dans le même sac, sans distinctions, comme semblait le faire en 1939 un manifeste de l’Oxford Group, largement répandu en
4 à notre expert en popularité, d’immenses progrès semblent s’être opérés au point de vue de la moralité. Gracián vous apprend à
3 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
5 tain temps : je ne trouvais pas son regard, il me semblait que ce regard fuyait très loin dans ses yeux et me rejoignait par-der
6 ne grande fugue puissante et soutenue, quand tout semblait perdu, gâché et sans remède, un chant profond qui ne cesse jamais, in
4 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
7 ’on voudra — et l’on s’entretue pour ces mots. Il semble même que l’on se batte pour eux avec d’autant plus de passion que l’o
5 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
8 là, pliée. (Une facture de blanchisseur !) Il me semble que la chose ne m’était plus arrivée depuis douze ou treize ans, depu
9 e résume en un seul acte un procès perpétuel, qui semble continu, mais qui est fait de milliards de retraits presque impercept