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être surmonté, soit du moins compensé par quelque
sentiment
de participation choisie (Rilke à travers l’Europe ; Gide en Afrique
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lériens ? » Ce serait en effet scandaleux pour le
sentiment
national des résistants de la dernière guerre. Mais c’est absolument
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même temps qu’il réarmera l’Allemagne ! » Ici, le
sentiment
oblitère la logique. Il est clair, en effet, que les unités allemande
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le fédéraliste, est une réalité d’instinct et de
sentiment
, un fait de naissance, comme le mot l’indique, une implantation géoph
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iquer l’annexion à son État, au nom de son propre
sentiment
patriotique, de peuples qui ont l’honneur de parler sa langue, quand
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ses dogmes unitaires, absorbant et dénaturant le
sentiment
patriotique. Aux yeux de l’Histoire, la cause paraît jugée. Qu’en est
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donc pas seulement une dernière résistance que le
sentiment
patriotique dénaturé et l’égoïsme politique mal compris opposent à l’
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eurs siècles plus tard, ne put que sanctionner un
sentiment
qui n’avait pas attendu le dogme pour triompher dans tous les arts.
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père (obstacle à l’amour pour la mère) et par le
sentiment
de culpabilité qui en résulte. Le poids de l’autorité patriarcale réd
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touche à la femme reste « impur ». Ce complexe de
sentiments
œdipiens est d’autant plus contraignant que la structure sociale est
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re, chair, sexualité procréatrice, — tandis qu’un
sentiment
d’adoration purifiée peut se porter sur le Dieu-Esprit. En même temps
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sé aux époux sans qu’il soit tenu compte de leurs
sentiments
. En même temps, le relâchement de l’autorité et des pouvoirs ménage,
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ture humaine ? Exactement. L’amour-passion est un
sentiment
historique, qui a une histoire. Il a des causes, des raisons. Peut-êt
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ts de la grandeur humaine. 71. M. de Unamuno : Le
Sentiment
tragique de la vie. 72. Silone : Le Pain et le vin. 73. Dostoïevski :