1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 et les situations exceptionnelles, augmentait le sentiment de liberté de chaque membre et pourtant assurait la cohésion de l’ens
2 niques en terre romande ne firent qu’augmenter le sentiment de commune appartenance de tous les Suisses à leur idéal « national »
3 veille pas du tout chez les Suisses l’ensemble de sentiments et de passions qu’éveille le mot « nation » chez un Français. a. Par
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
4 ps, que cette idée ait acquis plus de netteté, ce sentiment plus d’énergie. Ce mémorable progrès, tout nous le révèle. Les parole
5 roit des titres ronflants. C’est en vertu du même sentiment que le commandant d’une grande unité d’armée suisse n’est pas appelé
3 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
6 que lui paraît « théâtrale ». Ce n’est pas que le sentiment , ni même le sentimentalisme, soit absent des cérémonies les plus dépo
4 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
7 on peuple ou sa littérature, les témoignages d’un sentiment proprement national, comparable à celui que les Français, les Italien
8 peut appeler le « patriotisme suisse », mêlant le sentiment de la nature à une espèce particulière d’enthousiasme politique, que