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et les situations exceptionnelles, augmentait le
sentiment
de liberté de chaque membre et pourtant assurait la cohésion de l’ens
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niques en terre romande ne firent qu’augmenter le
sentiment
de commune appartenance de tous les Suisses à leur idéal « national »
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veille pas du tout chez les Suisses l’ensemble de
sentiments
et de passions qu’éveille le mot « nation » chez un Français. a. Par
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ps, que cette idée ait acquis plus de netteté, ce
sentiment
plus d’énergie. Ce mémorable progrès, tout nous le révèle. Les parole
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roit des titres ronflants. C’est en vertu du même
sentiment
que le commandant d’une grande unité d’armée suisse n’est pas appelé
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que lui paraît « théâtrale ». Ce n’est pas que le
sentiment
, ni même le sentimentalisme, soit absent des cérémonies les plus dépo
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on peuple ou sa littérature, les témoignages d’un
sentiment
proprement national, comparable à celui que les Français, les Italien
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peut appeler le « patriotisme suisse », mêlant le
sentiment
de la nature à une espèce particulière d’enthousiasme politique, que