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ffre d’une incurable adolescence, d’un défaitisme
sentimental
qui l’empêtre de réticences, et le fait jouer bien maladroitement son
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éveillés. Tout un système de valeurs lyriques et
sentimentales
que la raison ignore ou tyrannise aveuglément, car « nous avons dress
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t sang n’évoque ici qu’une tache de couleur, plus
sentimental
que cruel. « J’ai la beauté facile et c’est heureux. » Il y a aussi u
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e, vous partez en chantonnant le titre sur un air
sentimental
, bien décidé au fond, à retrouver Patsy, l’Irlandaise perdue par cet
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ez certaines femmes et l’on y voit une préciosité
sentimentale
qui touche à la névrose ou bien simplement une clairvoyance exception
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un livre comme celui-ci tend un merveilleux piège
sentimental
à la raison raisonnante. Et qu’il nous mène un peu plus loin que la s
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oir qu’ils ne s’en doutent… C’est un dévergondage
sentimental
, plein de malices et d’envies de pleurer. Quel dommage qu’il s’égare
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énéral au voyageur de ma sorte sous ses modalités
sentimentales
plus que documentaires, peut-être serait-il bon que je parsème ce tex
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à ce qui forme l’opinion, cet ensemble de mythes
sentimentaux
qui gouverne les arguments. Ici je rentre dans mes chasses et rembouc