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re, va-t-il pleurer ? m’embrasser ou me tuer ? Il
sent
autour de lui quelque chose qui le gêne. C’est l’empire. Il le renver
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, excessives lassitudes ou faim de violences — on
sent
l’approche de quelque chose, catastrophe ou révélation, brusque échap
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que l’orgueil, sachant une chose si forte, de me
sentir
plus fort encore et de la vaincre. — Mais la joie d’une si haute vict
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z un certain recul par rapport à ses idées, on le
sent
un peu gauche encore dans les positions conquises. Il n’empêche que s
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ans, c’est surtout le Montherlant actuel que l’on
sent
. C’est dire que le livre vaut par son allure plus que par des qualité
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ts héros. M. Spitz cherche à faire sourire, on le
sent
; pourtant l’on sourit : il faut bien croire qu’il y a là un talent,
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certain tragique, mais au filet si acéré qu’on ne
sent
presque pas sa blessure. Mais c’est ici qu’il s’agit de ne pas confon
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» (Calvin). Le tableau n’est pas beau, mais on y
sent
une « patte » qui révèle encore dans le fond quelque chose de solide,
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radictoires : elles représentent deux manières de
sentir
l’unité d’une époque obsédée d’action.) Autour de ces individus — Chi
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suis un homme (janvier 1929)ax Le critique se
sent
désarmé et légèrement absurde en face d’un récit comme celui d’Anders
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un paroxysme verbal qui induit à croire qu’il les
sentait
moins profondément que ses devanciers. Son sadisme n’est pas beaucoup
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ique, certes, mais plus réellement dangereuse. On
sent
bien ici que le critique a dominé son sujet. Mais pourquoi se refuse-
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u de Gül Baba Dans Bude il y a des ruelles qui
sentent
encore le Turc. Tandis que nous y rôdions, un soir étouffant, vous m’
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-être allé se promener. Dehors, les roses crimson
sentent
le soufre. Trente degrés à l’ombre. Ce sanctuaire indigent est plutôt
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pays que la Hongrie archi-connue, — le lecteur le
sent
vite, et devient extrêmement exigeant, car le plus beau mensonge atte
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x replis si doucement intimes qu’à cette heure on
sent
bien que poursuivre est une sorte d’enivrant péché. — Nous aurions un
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ans sa fumée, on respire une lourde obscurité qui
sent
l’enfer. Je ne pense plus qu’ « au souffle »… Mais alors tout s’allum
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ns des jardins luisants ne m’empêchera pas de m’y
sentir
au bout d’un monde, au bord extrême de l’Europe. Le hasard a voulu qu
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ou Goethe, mais, semblable à Gérard de Nerval, je
sentais
qu’il s’agissait d’autre chose… Il s’agit toujours d’autre chose que
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la lenteur de certains méandres, aimerait-on les
sentir
moins insistants, moins concertés. Mais n’est-ce pas là un défaut qui