1
’est peut-être le seul reproche sérieux que je me
sente
le droit de formuler devant sa monumentale Histoire de la Réforme fra
2
le secret s’était perdu avec l’enfance. Comme on
sent
que l’auteur s’amuse de sa maîtrise : Lagerlöf, ou la gloire de conte
3
ais les différentes versions du roman, plus je me
sentais
gêné, mal à l’aise. Ce Tristan et cette Iseut qui restent indifférent
4
e à la femme une prééminence dont l’Église a bien
senti
le danger, puisqu’elle a développé le culte de Notre-Dame pour répond
5
Histoire est assez grand pour tout le monde. Nous
sentons
qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie. Les circonstances
6
issance. Quand je lisais les romans bretons je me
sentais
curieusement chez moi. J’ai fini par comprendre que ce sentiment vena
7
c’est quelque chose que probablement tout homme a
senti
dans le fond de soi-même comme l’achèvement. Cela n’a rien à voir ave