1 orsqu’il « veut prendre mesure de lui-même, il se sent aussitôt incomplet et coupable. Il est donc possible de dire que le p

2 es œuvres mieux qu’Une Main n’en convaincra. On y sent , plus directe qu’ailleurs, sa pensée ; on y voit de tout près, dans l

3 s êtres, on n’a pas besoin d’arguments pour faire sentir l’absurdité des « lois » qui, pour certains intellectuels, figurent l

4 ire » et vous soupirez profondément. Vous ne vous sentez pas bien, aussi après le déjeuner vous vous mettez à frotter le parqu

5 and je m’arrêtais d’écrire, par fatigue, je ne me sentais pas la bonne conscience de l’employé qui a fait sa journée et qui pen

6 que j’éprouvais, mais aussi l’impossibilité de la sentir avec quelque vivacité, sauf par éclairs, dans la rue, par exemple. Dé

7 t toujours à l’encontre des buts allégués. Chacun sent très bien que l’autre triche. D’où cet affaiblissement du sens civiqu

8 dans le rictus d’une dictature. Tout le monde le sent , tout le monde le craint — et le désire sans se l’avouer. Voilà pourq

9 que fois un monde nouveau, et chaque fois elle se sent plus forte ou plus faible que les règles sociales admises. Supposées

10 s’éleva contre la prétention allemande, que l’on sentait , obscurément, ruineuse pour l’avenir confédéral de l’Europe. Hitler c

11 jamais la Nature n’a rien produit de pareil. Vous sentez bien qu’il y a du démoniaque dans son cas, une sorte de polémique anx

12 lent que par ces règles et dans la mesure où l’on sent qu’elles les violent. Pour peu qu’il les impose, elles perdent leur s

13 , avec quelque ferveur, que les ouvrages qu’il se sentait le plus incapable d’écrire : ceux d’un Marcel Aymé, d’un Simenon.) À

14 ividuel ou collectif d’ailleurs ; mais le premier sent la tricherie. 59. Lits de Procuste des utopies toujours trop pauvres

15 assner, Le Livre de ma Vie. Puis aller en Inde et sentir l’innombrable, le « corps magique ». 90. D. T. Suzuki, Mysticism :