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. ⁂ Ce n’est pas sans quelque inquiétude que j’ai
senti
ce livre se proposer à moi : car de l’auteur ou du sujet, sait-on jam
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mes hérités de nos petits péchés quotidiens, nous
sentons
quelquefois intervenir comme un moment d’accélération panique : c’est
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ant un discours ? Une énergie de cette nature, on
sent
très bien qu’elle n’est pas de l’individu, et même qu’elle ne saurait
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tait, que son deuil soit le deuil du monde ! Nous
sentons
bien que nous sommes tous atteints. Quelqu’un disait : Si Paris est d
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ion légendaire de pacte avec le diable. Le peuple
sent
obscurément qu’un succès trop rapide dans le monde doit provenir d’un
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turelle et animale s’empare d’eux, pour qu’ils se
sentent
stimulés, enflammés et hors d’eux-mêmes. Les scènes du Blocksberg son
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’individu s’égare dans ces vastes rouages, il s’y
sent
partout en exil. À moins qu’il ne s’y prenne par mégarde, comme on le
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homme ne fut plus puissant, et jamais il ne s’est
senti
, en tant qu’individu, plus impuissant. Jamais il ne fut plus savant,
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is à lui. Parce qu’il m’avait convaincu, je ne me
sentais
pas vaincu. Eh bien, ce raisonnement que le Malin propose à la consc
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st d’altérer nos vertus dans leur source. Vous le
sentirez
présent, dans sa force immobile, derrière le regard de l’être sans am
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effets de la passion est de nous empêcher de nous
sentir
coupables, dans l’instant même où nous savons le mieux que nous le so
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mais « honnêtement », irrésistiblement, vous vous
sentez
dans votre droit ! Or à ce point l’amour devient indiscernable de l’é
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oui, je suis là, dit-elle. (Je tenais sa main. Je
sentis
qu’elle avait de la fièvre.) Je suis là parce que tu es venu, tout si
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tianisme est à réinventer — comme la seule que je
sente
admirable au-delà des fascinations de ma plus secrète utopie. Nous av
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rive les hommes de la possibilité d’être et de se
sentir
responsables dans la société et dans la politique, donc d’être libres