1
lement malfaisants. Beaucoup de gens commencent à
sentir
cela. Beaucoup commencent à douter de la valeur de ces méthodes qui s
2
rgeois, précisément parce que, contre lui, ils se
sentent
privés de défense intérieure : il est comme l’expression brutale de l
3
ns. C’est aussi dans l’espoir de vous faire mieux
sentir
à quel point l’humanisme, loin d’être une simple conception philosoph
4
iente et volontaire. Certes, il m’est arrivé de «
sentir
communiste ». Cela nous arrive à tous, et plus souvent que nous ne le
5
fait fasciste étant avant tout national. Nous ne
sentons
pas l’hitlérisme comme des Allemands, ni le fascisme comme des Italie
6
s, ni le fascisme comme des Italiens. Nous ne les
sentons
pas en France. Nous nous élevons contre une méthode de gouverner imag
7
clairement aperçu, dans l’élite de la nation. On
sent
qu’un homme humain, intelligent, honnête et doué de sens critique, se
8
temps de participer à la chose civique ; mais on
sent
aussi que la politique, telle qu’elle est conçue et pratiquée de nos
9
érieure. Dans le cas de la France, si un homme se
sent
poussé à l’action publique par des motifs qu’on peut admettre généreu
10
du prochain dans la mesure précisément où ils se
sentent
libérés par leur foi dans le Christ, leur Maître. Ces hommes nouveaux
11
plement intéressante. Je ne fais pas ici, vous le
sentez
bien, une description désintéressée et académique de divers régimes é
12
nt individualiste69. Un dernier exemple vous fera
sentir
, je crois, toute l’importance pratique de cette distinction entre per
13
le baptême du feu. Nous sommes bien loin de nous
sentir
dépossédés par cette mise dans le domaine public de nos idées. D’autr