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nt. Tout homme connu vous fera remarquer qu’il se
sent
méconnu dans son dessein profond, à moins qu’il ne soit très vulgaire
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image comme celle d’un quelconque passant, il se
sent
aussitôt séparé de soi-même, et si profondément différent de son appa
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la persécution.) Il arrive aussi que cet homme se
sente
trop lucide, perçant toutes choses à jour, et lui-même, d’où l’impres
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son. L’esprit offensif et joyeux, le corps qui se
sent
« plein dans sa peau » partagent les richesses du désir. Et l’homme a
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seul trait, en se regardant dans les yeux. Je me
sentis
pâlir violemment. Nous passons à table. Mon hôte bientôt s’inquiète :
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: « Vous êtes pâle et vous ne mangez rien ! Vous
sentiriez
-vous indisposé ? » Je balbutie n’importe quoi sur cette traversée en
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jamais la Nature n’a rien produit de pareil. Vous
sentez
bien qu’il y a du démoniaque dans son cas, une sorte de polémique anx
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lent que par ces règles et dans la mesure où l’on
sent
qu’elles les violent. Pour peu qu’il les impose, elles perdent leur s
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égoïste pour me laisser aller à ce jeu-là. Je me
sentirais
dépossédé. C’est que je veux être aimé pour moi-même, tel que je suis
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ce, indigne d’un homme de sens. Le fiscal Knol se
sent
prêt à pleurer de colère. Pasvogel, le rusé libraire, essaie de se re
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dans l’univers entier. Ils se sont tout d’abord
sentis
gênés, balourds, ne sachant trop quelle contenance prendre. Et la lum
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’il perd une fois, c’en est fini. Jamais il ne se
sent
plus angoissé qu’à la veille d’une épreuve mondiale, au terme du plus
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hronométrée, sans rien d’impur. Et pourtant il se
sent
impur et affaibli. Allégé physiquement par un régime sévère, tous ses