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nsion hitlérienne. À la lumière des événements de
septembre
, cette lecture prend une actualité vraiment bouleversante. Nous venon
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nsions de la Halle des Fêtes à Zurich. C’était en
septembre
1938. L’Europe entière allait mobiliser. Vous vous souvenez de cet ap
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us vous souvenez de cet après-midi du mercredi 28
septembre
où les peuples prêtaient l’oreille guettant le tocsin de la guerre. C
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loises de l’Exposition de Zurich. Mais le mois de
septembre
1939 nous apporta la catastrophe que septembre 1938 avait su écarter.
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de septembre 1939 nous apporta la catastrophe que
septembre
1938 avait su écarter. C’était l’échec tragique de Nicolas et du mess
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issance d’un drame (Noël 1939)s Le mercredi 28
septembre
de l’an dernier, au milieu de l’après-midi, je fus appelé au téléphon
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anter ! On sait la suite : tout était prêt, quand
septembre
1939 vint détruire ce qu’avait engendré Munich. Ainsi ma pièce, née d
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vérité. La menace est sérieuse, les événements de
septembre
et toute la suite l’ont fait voir aux plus optimistes. En Russie, en
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nt pleins de projets et d’espoirs, qui ont cru en
septembre
1939 que notre mobilisation allait ouvrir des possibilités d’action m
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ieu la veut encore. Nous avons fait serment, le 2
septembre
, de défendre la Suisse jusqu’à la mort. Eh bien, il serait fou de mou
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La Ligue du Gothard : raisons d’espérer (13
septembre
1940)ah Je comprends vos questions. J’y ai répondu dans une brochu
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: raisons d’espérer », L’Essor, Genève, n° 18, 13
septembre
1940, p. 3. Précédé de la notice suivante : « Notre article sur la Li
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le temps tu le retrouveras ; donnes-en une part à
sept
et même à huit, car tu ne sais pas quel malheur peut arriver sur la t
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e ses héros, dans le récit intitulé Le Fanion des
sept
braves. Par les temps que nous vivons, une telle page prend une allur