1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
1 . Jeux des enfants prussiens : s’asseoir à six ou sept sur un bœuf jusqu’à ce que ses genoux plient. Dresser des étalons en
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
2 deux à Genève dans la matinée, une à Neuchâtel à sept heures du soir. Celle qui est bordée de noir est d’un ami aîné qui me
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
3 selé qui bat pendant une dizaine de minutes, vers sept heures du matin, sans aucun rythme, à quelques mètres de mon rez-de-c
4 aussi vite que possible.) Normalement, je suis à sept heures dans le bureau du directeur de l’imprimerie. Puis je prends ma
5 stes. » (Lettre de Mounier à G. Izard, datée du 6 septembre 1932, dans Mounier et sa génération, p. 132.) 20. Soyons méticuleux 
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
6 J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai pris sept sur mon pyjama dans l’espace de deux minutes, ce qui doit constituer
7 le en tempête de la mer vers le continent, depuis sept jours déjà, sans une seule heure d’interruption. Et cela doit durer d
8 , à toute vitesse ! 5 juin 1934 Le jardin à sept heures du matin. Chaque jour, nous le découvrons ! Touffu, feuillu et
9 sion de mauvaise humeur contre « le sort » depuis sept à huit mois que nous sommes dans l’île. Je n’étais pas fier. Ce matin
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
10 Deuxième partiePauvre province 22 septembre 1934. A… (Gard) Arrivés hier matin, par Nîmes. Déjà je ne sais plu
11 ansporter leur contenu à l’étage supérieur. 23 septembre 1934 Maintenant les murs sont nus : d’un joli vert bleu très clair
12 de poussière. Mais on va pouvoir respirer. 25 septembre 1934 La traduction d’un considérable ouvrage allemand nous permett
13 une sur dix-huit marche encore — et gagnent leurs sept francs par jour. Pendant ce temps, les hommes sont sur la place et pr
14 chons-là ». Ces cochons-là sont donc au nombre de sept ou huit. Il en totalise sept pour son compte, et sa dame fait le peti
15 nt donc au nombre de sept ou huit. Il en totalise sept pour son compte, et sa dame fait le petit appoint. Elle s’est « coupé
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
16 Le prochain. — Dans la presse du métro, vers sept heures du soir, j’avais réussi à ouvrir le livre que je portais, et j
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
17 les autres en brun. C’est un dur. Chômeur depuis sept ans. Ancien chef d’une Kameradschaft (compagnie de miliciens rouges).
18 anisé à Darmstadt par le NSDStB62 du 28 août au 9 septembre 1935. Les cours ne commencèrent que le second jour, avec une conféren
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
19 xigences allemandes. Et c’est pourquoi, lorsqu’en septembre 1938, l’Allemagne appuya sa revendication de menaces militaires, les
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
20 is faire un opéra, un jeu sacré… Chaque soir vers sept heures, au Florian, place Saint-Marc. Le conservateur du Palais des D
21 ties et dictatures ont accepté de discuter. Le 30 septembre , à dix-sept heures, on m’appelle au téléphone. Ce n’est pas la guerre
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Avertissement
22 les notes et réflexions que j’ai écrites pendant sept ans — et dont un certain nombre ont paru à leur date, réagissant à l’
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
23 onnement, quelque part à la frontière suisse, fin septembre 1939 — Tu te rends compte ? dit un camarade. — Pas trop. Mais pour
24 le temps tu le retrouveras ; donnes-en une part à sept et même à huit, car tu ne sais pas quel malheur peut arriver sur la t
25 é. Bon. Nous verrons cela demain matin. Arriver à sept heures tapantes au bureau, surtout. Notre projet du 6 juin se précise
26 oments où tout peut arriver. 18 juin 1940 À sept heures précises au bureau. Sur ma table, une note me priant de passer
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède
27 u’elles jouèrent dans le même sens. Le 20 août, à sept heures du matin, je prenais la route de Lisbonne. 85. Organisation
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
28 ui vibre au vent chaud de la mer… Lisbonne, 10 septembre 1940 Blanche et bleue dans l’immense lumière de la liberté atlanti
29 et ses rues débouchant sur le ciel, la ville aux sept collines renie la guerre, oublie l’Europe. Demain nous embarquons pou
30 notre délai de grâce ! À bord de l’Exeter, 11 septembre 1940 Les derniers barrages traversés, la passerelle relevée, et no
31 licier. De Genève à Lisbonne, nous avons traversé sept contrôles différents de douane et de police. Secondés par la chance,
32 nt, qu’il était bien réel et bien lui-même… 12 septembre 1940, 21 heures, à bord du SS. Exeter La situation est la suivante
33 e dans cette langue ? En mer, nuit du 14 au 15 septembre 1940 Les derniers bateaux de la dernière ligne reliant l’Europe à
34 vraiment bien qu’entre gens du même peuple… 17 septembre 1940 Chaque soir, les passagers se pressent devant la porte de la
35 définition, — avant qu’elle fût définitive. 18 septembre 1940 Comment prévoir l’issue de cette guerre, lorsqu’on a remarqué
36 ossible » serait donc la victoire anglaise. 19 septembre 1940 Un journaliste américain, qui revient de Paris, s’appuie au b
37 é dans l’eau, pour marquer mon approbation. 20 septembre 1940, en rade de New York Je me suis éveillé dans ma cabine moite
38 rait vérifiée à l’instant même ! New York, fin septembre 1940 Ces histoires de visas et de passeports, j’y reviens, font ra
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
39 e douce à Montevideo… » Buenos Aires, début de septembre 1941 Un seul gratte-ciel, de vingt étages, mais il fait le profil
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
40 c’est déjà presque une routine… 1er août 1914, 2 septembre 1939. L’alerte de Munich, aussi. Et quel jour sommes-nous aujourd’hui
41 conférence de Buenos Aires, des notes éparses. À sept heures, je me suis mis à écrire. Il est dix heures et j’ai devant moi
42 sur la plage, et nous l’avons ici. New York, 2 septembre 1942 Quoi de plus sale qu’une ville dont la foule transpire ? II f
43 Nord, depuis quelques jours… Long Island, fin septembre 1942 Bevin House. — Nouvelle maison à la campagne, à deux heures
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
44 secondes de révolution — et le feu rouge — six ou sept secondes. Tout ce qu’embrasse mon regard, tout est fait de main d’hom
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
45 Virginie Septembre 1943 Un éditeur américain m’ayant demandé d’écrire une version éla
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
46 alme. Nous parlions peu et nous étions heureux. À sept heures une sourde explosion s’est longuement répercutée, venant du fo
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
47 romise à tout l’homme ! 75e rue, 30 mars 1946, sept heures du matin Une dernière fois, je me laisse envoûter par les b
48 ais-je cette nuit ? J’arrive au rendez-vous après sept ans, furtivement, à la faveur d’une nuit déserte. Un rendez-vous dont