1
éserves sont de peu d’importance si l’on songe au
service
que M. Seillière nous rend en réintroduisant dans l’actualité la plus
2
t surtout de la sacro-sainte Raison utilitaire au
service
des sacro-saints Principes au nom desquels tout se ligue aujourd’hui
3
concret de l’esprit, ils comprendraient que le «
service
dans le temple » s’accommode mal de tant de gesticulations, de gros m
4
2. Description du monstre Le
service
militaire me permit de retrouver quelques-unes de ces réalités. J’y r
5
2. Description du monstre Le
service
militaire me permit de retrouver quelques-unes de ces réalités. J’y r
6
anglais qui parvint durant la guerre à diriger le
service
de contre-espionnage allemand chargé de sa filature6. Ah ! comme nous
7
la terreur bourgeoise. Matraques et revolvers au
service
de la Propriété : des violences épisodiques de cette envergure n’aura
8
guerre, c’est sur la notion — et la pratique — du
service
nécessaire que se fait l’unanimité de la nouvelle génération. Quels q
9
, d’autre part, cette soif d’action directe et de
service
peut porter aussi bien, par exemple, à militer en faveur du marxisme,
10
e leurs filles, les colères de leurs femmes, leur
service
militaire et ses humiliations, leur travail, leur chômage, leurs vaca
11
il y a mis 16 ans — les plus fameux produits des
services
de propagande officieuse. M. Marcel Hutin n’a qu’à bien se tenir. La
12
es débats une conclusion précise : la question du
service
civil est ouverte. Une carrière pour les réformistes ! Mais il faut r
13
décrire vos satiétés, quand elle ne se met pas au
service
d’un régime de surenchère désespérée des sensations de luxe, dont ell
14
décrire vos satiétés, quand elle ne se met pas au
service
d’un régime de surenchère désespérée des sensations de luxe, dont ell
15
er 1940 Monté hier au Gothard, pour affaire de
service
. Ce haut lieu de la Suisse, ce vrai cœur de l’Europe, je ne m’en suis
16
femme de ménage sort ses clés, ouvre une porte de
service
à côté du portail d’un ministère. Un vieux monsieur très grand, vêtu
17
l produire tant de nomades ? C’est le secret du «
Service
étranger ». Ceux qui ont envie de se battre avec la vie s’en vont ail
18
que j’en dis l’eût gêné. Mais ce sens naturel du
service
, il lui fut donné de l’exercer dans d’autres dimensions humaines que
19
des Révolutions européennes — dans le domaine du
service
civil et des camps de travailleurs. Mais les tentatives de rupture pr
20
. Ce peut être sur une éthique de puissance et de
service
; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal humanitaire ; ou su
21
de sa vie : tel est le fondement de l’attitude de
service
et de sacrifice qui, dans tous les domaines, fait de lui un révolutio
22
gique, de l’esprit. Hegel met d’abord l’esprit au
service
de l’État ; puis Marx à celui des « faits » et de la « matière » ; en
23
t à un rôle publicitaire, bientôt négligeable, au
service
de la Production divinisée. Telle est la « ligne générale » de la dém
24
. L’intelligence n’a plus alors qu’à se mettre au
service
des nécessités « telluriques » qu’elle avait pour mission héroïque de
25
caces d’ailleurs. ⁂ On a voulu mettre l’esprit au
service
du « minimum de vie » que n’importe quel animal s’assure à moins de f
26
n professionnelles, d’une part, et de l’autre, le
service
prolétarien collectif soumis directement à un centre de contrôle écon
27
ntralisateur — et par une institution centrale de
service
industriel collectivisé, soumise à un organe de répartition, tout à f
28
on professionnelle, d’une part, et de l’autre, le
service
prolétarien collectif soumis directement à un centre de contrôle écon
29
servir de refuge, de prétextes et d’arguments au
service
de nos passions, au secours de notre misère matérielle. Mais elles ne
30
et le syndicat d’une part, le centre directeur du
service
civil de l’autre. Tension organique entre la commune et la région d’u
31
pèsent sur la civilisation ? Ou verra-t-on que le
service
que la pensée chrétienne doit rendre n’est un service rendu au monde
32
ice que la pensée chrétienne doit rendre n’est un
service
rendu au monde que si d’abord il est obéissance ? Ce ne sont pas les
33
e présentent au sein d’un ensemble vécu. Le grand
service
rendu par la phénoménologie, c’est de nous avoir délivrés d’une psych
34
ortantes. Indiquons simplement, ici, l’idée de ce
service
industriel, destiné selon les précisions de Dandieu, à provoquer la s
35
liquant l’activité de l’homme considérée comme un
service
nécessaire — voilà peut-être définie l’attitude chrétienne en politiq
36
uel d’abord, Économique ensuite, Politique à leur
service
. Il est facile d’indiquer rapidement le principe de cohésion de ces t
37
ion de la condition prolétarienne par le moyen du
service
civil de travail19. L’analyse du pouvoir aboutit d’autre part à une c
38
e des masses russe ou allemande ; enfin l’idée du
service
civil de travail, qui pourrait bien devenir le cheval de bataille des
39
frer et à définir dans le détail l’application du
service
de travail. Cf. le n° 8 de L’Ordre nouveau . 20. N’est-ce pas ainsi
40
éfinissent volontiers l’Église comme une force au
service
de la civilisation, s’étonner des rudesses de ce théologien, et affir
41
croyance vulgaire au bonheur, la religion mise au
service
de l’ordre, la permanence, les vertus trop massives. C’est l’espèce d
42
balance politique. Tout ce qui n’est pas déjà au
service
des hommes, est déjà au service de ce qui les opprime. Notre individu
43
n’est pas déjà au service des hommes, est déjà au
service
de ce qui les opprime. Notre individualisme travaille pour l’État. No
44
e Versailles interdit à la Bolivie d’utiliser les
services
des Allemands. Pendant leur traversée, un coup d’État renverse le gou
45
erciales. » C’est l’amorce de notre conception du
service
civil, mais entreprise à rebours, et dans un sens qui ne peut aboutir
46
t plutôt un coup de bistouri. La bonne volonté en
service
commandé qui éclate dans ces discours ne rend que plus sensible l’imp
47
, appendice, p. vii. 17. Voir aussi, au sujet du
service
civil, les propositions du Plan, p. 46. 18. Nous les aurions mis à l
48
t-ce à dire que le bien de tous doive être mis au
service
du bien de chacun ? Prenons garde de retomber ici dans un ordre contr
49
tion. Le public littéraire rendit un très mauvais
service
aux écrivains surréalistes en les prenant pour ce qu’ils croyaient êt
50
servir de refuge, de prétextes et d’arguments au
service
de nos passions, au secours de notre misère matérielle. Mais elles ne
51
liquant l’activité de l’homme considérée comme un
service
nécessaire — voilà peut-être définie l’attitude chrétienne en politiq
52
. Ce peut être sur une éthique de puissance et de
service
; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal humanitaire ; ou su
53
de sa vie : tel est le fondement de l’attitude de
service
et de sacrifice qui, dans tous les domaines, fait de lui un révolutio
54
, par exemple, ces trois notions : le travail, le
service
, l’amour du prochain. Le travail est pour le chrétien un pur exercice
55
ue le travail du brigadier de choc est d’abord un
service
rendu à la collectivité. Mais cela ne fait qu’aggraver l’opposition.
56
qu’aggraver l’opposition. En consacrant sa vie au
service
du plan quinquennal, le brigadier de choc travaille pour des avantage
57
surer un bien-être général matériel d’abord. Ce «
service
» est donc purement intéressé, en définitive. Il n’est qu’une extensi
58
l’intérêt personnel. Il est donc le contraire du
service
chrétien, lequel est d’abord sacrifice au bien de l’autre en tant qu’
59
s’ils semblent parler des mêmes objets. Le grand
service
que le marxisme peut rendre aux chrétiens, est là. Il a fait apparaît
60
ait d’abord des hommes humains, ensuite l’État au
service
de ces hommes. Là où l’homme veut être total, l’État ne sera jamais t
61
ou le syndicat d’une part, le centre directeur du
service
civil de l’autre. Tension organique entre la commune ou la région d’u
62
le spirituel une primauté de droit plutôt que de
service
. On voudrait que le spirituel soit honoré comme souverain d’une hiéra
63
ituel nous est prescrit, par l’Évangile, comme un
service
dans l’abaissement. La primauté du spirituel n’est donc active et jus
64
stifiée que pour autant que la personne se met au
service
du prochain. Elle n’est pas une « valeur », mais un acte. Et cet acte
65
une, ils nous reprochent d’être sans « force » au
service
de nos vérités. (Ils disent alors : de nos rêveries.) Ils ne conçoive
66
caces d’ailleurs. ⁂ On a voulu mettre l’esprit au
service
du « minimum de vie » que n’importe quel animal s’assure à moins de f
67
uel d’abord, Économique ensuite, Politique à leur
service
. Il est facile d’indiquer rapidement le principe de cohésion de ces t
68
ion de la condition prolétarienne par le moyen du
service
civil de travail. L’analyse du pouvoir aboutit d’autre part à une con
69
e des masses russe ou allemande ; enfin l’idée du
service
civil de travail, qui pourrait, qui devrait devenir le cheval de bata
70
aille des mouvements de gauche. L’organisation du
service
civil est l’objet des études patientes d’un groupe d’ingénieurs qui s
71
la condition prolétarienne. Ses moyens ? Créer un
service
de travail analogue au service militaire, et destiné à assurer toute
72
moyens ? Créer un service de travail analogue au
service
militaire, et destiné à assurer toute la production mécanisée, c’est-
73
libérale et de la concentration capitaliste : le
service
civil de travail dépendrait, en effet, d’un office central qui aurait
74
ortantes. Indiquons simplement, ici, l’idée de ce
service
industriel, destiné selon les prévisions de Dandieu, à provoquer la s
75
81. À quoi j’ajouterais pour ma part le souci du
service
. Cf. p. 188. 82. Et au groupe de L’Ordre nouveau , le seul qui se s
76
ouve citées les notes consignées par l’interne de
service
dans le journal de l’hôpital Frédérik où Kierkegaard passa ses dernie
77
servir de refuge, de prétextes et d’arguments au
service
de nos passions, au secours de notre misère matérielle. Mais elles ne
78
liquant l’activité de l’homme considérée comme un
service
nécessaire — voilà peut-être définie l’attitude chrétienne en politiq
79
. Ce peut être sur une éthique de puissance et de
service
; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal humanitaire ; ou su
80
de sa vie : tel est le fondement de l’attitude de
service
et de sacrifice qui, dans tous les domaines, doit faire de lui un rév
81
, par exemple, ces trois notions : le travail, le
service
, l’amour du prochain. Le travail est pour le chrétien un pur exercice
82
ue le travail du brigadier de choc est d’abord un
service
rendu à la collectivité. Mais cela ne fait qu’aggraver l’opposition.
83
qu’aggraver l’opposition. En consacrant sa vie au
service
du plan quinquennal, le brigadier de choc travaille pour des avantage
84
er un bien-être général et matériel d’abord. Ce «
service
» est donc intéressé, en définitive. Il n’est qu’une extension intell
85
rêt personnel. Il est à cet égard le contraire du
service
chrétien, lequel est d’abord sacrifice au bien de l’autre en tant qu’
86
s’ils semblent parler des mêmes objets. Le grand
service
que le marxisme peut rendre aux chrétiens, est là. Il a fait apparaît
87
ait d’abord des hommes humains, ensuite l’État au
service
de ces hommes. Là où l’homme veut être total, l’État ne sera jamais
88
ou le syndicat d’une part, le centre directeur du
service
civil de l’autre. Tension organique entre la commune ou la région d’u
89
le spirituel une primauté de droit plutôt que de
service
. On voudrait que le spirituel soit honoré comme souverain d’une hiéra
90
ituel nous est prescrit, par l’Évangile, comme un
service
dans l’abaissement. La primauté du spirituel n’est donc active et jus
91
stifiée que pour autant que la personne se met au
service
du prochain. Elle n’est pas une « valeur », mais un acte. Et cet acte
92
une, ils nous reprochent d’être sans « force » au
service
de nos vérités. (Ils disent alors : de nos rêveries.) Ils ne conçoive
93
ficaces d’ailleurs. On a voulu mettre l’esprit au
service
du « minimum de vie » que n’importe quel animal s’assure à moins de f
94
uel d’abord, Économique ensuite, Politique à leur
service
. Il est facile d’indiquer rapidement le principe de cohésion de ces t
95
ion de la condition prolétarienne par le moyen du
service
civil de travail78. L’analyse du aboutissait d’autre part à une conce
96
it de démontrer par l’exemple la possibilité d’un
service
de travail analogue au service militaire, et destiné à assurer toute
97
a possibilité d’un service de travail analogue au
service
militaire, et destiné à assurer toute la production mécanisée, c’est-
98
libérale et de la concentration capitaliste : le
service
civil de travail dépendrait, en effet, d’un office central qui aurait
99
de mots d’ordre soi-disant « tactiques », mis au
service
non point d’un idéal communautaire, mais de passions et d’intérêts sa
100
le de l’État, limité et fort, et l’institution du
service
civil.) C’est en vertu de notre conception de la personne que nous vo
101
ment à participer à notre prochaine expérience de
service
civil : remplacer un manœuvre dans une usine pendant 15 jours, et lui
102
e et responsable du seul fait qu’elle se met « au
service
» d’une doctrine de lutte politique. Faire la révolution, cela demand
103
pas un groupe d’agitateurs ou d’hommes de main au
service
d’un idéal mythique et vaguement défini. Nous voulons être, et nous s
104
ulture est bientôt ravalé au rôle du règlement de
service
dans les casernes. Dans le monde capitaliste, la culture n’est plus g
105
Esprit rend au mouvement personnaliste le grand
service
de lui créer une atmosphère, un champ d’essais intellectuels, je dira
106
Voilà bien le chrétien dans la cité : l’homme au
service
des hommes, bafoué, injurié, battu, exploité sans vergogne par tous l
107
: l’État et les institutions doivent être mis au
service
de l’homme ; or, c’est l’inverse qui se passe aujourd’hui ; l’État et
108
l à la solde des maîtres de forges, ou un chef de
service
aux finances prennent la parole au cours d’un banquet politique pour
109
e veut-il ? Un petit volume paru l’hiver dernier,
Service
public, nous l’a malheureusement appris. Ayant groupé cent-cinquante-
110
er ici le terme de fascisme. Mais l’apparition de
Service
public — et son succès — devraient suffire à mettre fin aux craintes
111
isme, en effet, est une mystique de la jeunesse ;
Service
public nous propose, au contraire, une mystique d’anciens combattants
112
ion des majuscules dont se hérissent les pages de
Service
public. Nos Morts, les Martyrs de la Passion française, la Bonne Nouv
113
tes dans la mesure où elles sont mal préparées ».
Service
public est un livre dangereux, parce que c’est un livre vague derrièr
114
et des revendications paysannes. Notre projet de
service
civil en liaison avec les corporations locales est la seule et unique
115
ue nous appelons la dichotomie, principe de notre
service
civil. Nous pensons avoir été plus loin que la simple position théori
117
ve ce que dit Montherlant sur l’inutilité de tout
service
— à condition que le sentiment poignant de cette vanité finale n’empê
118
rbe (ou le régime !) et de qualifier d’inutile un
service
qu’il faudrait d’abord rendre. Je force un peu mon objection pour êtr
119
itôt privé ». Et par contre ceci, que je lis dans
Service
inutile, n’est-ce pas l’écho de la virile légèreté du grand seigneur
120
ons. 33. Grasset, éditeur. r. « Montherlant :
Service
inutile », Vendredi, Paris, n° 2, 15 novembre 1935, p. 5.
121
prendre, existentiellement, que cette exigence de
service
, cet abaissement de la pensée aux choses, cet acte de présence au mon
122
domaine du travail. Et sa première expérience de
service
civil, organisée l’été dernier, a fait voir que les ouvriers savent a
123
tisans, qui concevaient encore leur rôle comme un
service
de l’art et de la pensée. Nous dirons tout à l’heure comment s’appell
124
liste. Ainsi l’éditeur cesse d’être un artisan au
service
du livre. Il met le livre au service de trusts industriels. Il entre
125
n artisan au service du livre. Il met le livre au
service
de trusts industriels. Il entre dans le domaine des gros chiffres, qu
126
éer ou de multiplier des centres de propagande au
service
d’un parti ou d’une ligue. (Nous voyons s’amorcer ce réflexe de défen
127
oir dans ce domaine : 1° Les institutions sont au
service
des personnes ; en particulier, l’édition est un moyen au service de
128
onnes ; en particulier, l’édition est un moyen au
service
de l’esprit créateur, et la distribution est un moyen au service de l
129
prit créateur, et la distribution est un moyen au
service
de l’édition. 2° Le gigantisme capitaliste ou étatique est proscrit p
130
vais au milieu d’ouvriers, de jeunes miliciens du
Service
de travail, de jeunes filles, de femmes mal vêtues : ils ne disaient
131
de mots d’ordre soi-disant « tactiques », mis au
service
non point d’un idéal communautaire, mais de passions et d’intérêts sa
132
le de l’État, limité et fort, et l’institution du
service
civil.) C’est en vertu de notre conception de la personne que nous vo
133
ment à participer à notre prochaine expérience de
service
civil : remplacer un manœuvre dans une usine pendant 15 jours, et lui
134
l y a l’Allemagne qui dresse toute sa jeunesse au
service
de l’État le mieux « entraîné » qu’on ait vu dans l’histoire… Que va
135
sait que ce titre signifie dictature (ou état) au
service
de la liberté. 47. Voir notre premier numéro et Mission ou démission
136
n de la condition prolétarienne. L’institution du
Service
civil, dont nous avons donné le plan général, et que notre expérience
137
s le confusionnisme délibéré, dans la calomnie en
service
commandé, et dans un conformisme vraiment stalinien. L’auteur englobe
138
» lorsqu’elle est maniée par un vrai marxiste, au
service
d’un État « dialectiquement » totalitaire. Tout notre honneur est de
139
, depuis quatre ans, une tout autre technique, au
service
d’un tout autre progrès. Que si les staliniens de Commune ou d’Europe
141
otions de minimum vital intérieur et européen, de
service
civil (appelé ici service public), d’entreprise (et non pas de corpor
142
térieur et européen, de service civil (appelé ici
service
public), d’entreprise (et non pas de corporation !), de Conseil suprê
143
esses d’accord aussi solides. w. « Manifeste au
service
du personnalisme par Emmanuel Mounier (Ed. Montaigne) », L’Ordre nouv
144
grands desseins et ordonnant toutes choses à leur
service
, c’est l’histoire des objets, des langages, des génies ou des organis
145
s de jeunes gens dans les camps de vacances ou de
service
civil. Mais tout cela n’est encore que prodromes. Les premières grand
146
sa vie. Docteur en droit, il travailla d’abord au
service
d’une compagnie d’assurances générales, puis d’une compagnie d’assura
147
ses ; c’est changer de but, et mettre en œuvre au
service
d’un but nouveau une force intacte, endormie jusqu’ici. Ce n’est pas
148
et dans son scepticisme, tant qu’elle les met au
service
de l’homme, tant qu’elle combat pour un idéal supérieur d’autonomie p
149
le d’une force d’émancipation tant qu’elle met au
service
d’un idéal à conquérir ses puissances conjuguées de critique et de mi
150
e d’être l’outil manié par des mains ouvrières au
service
d’une passion aventureuse, comme c’était le cas chez Descartes ou che
151
ui est d’ordre géométrique. Tant qu’elle reste au
service
d’une fin qui comporte une unité vive, la raison remplit son office q
152
e, et dont la mesure actuelle est une tactique au
service
de la force commune, et non pas de la vérité…
153
igine et la fin du peuple : l’Éternel Dieu et son
service
. Parce qu’elle est la loi de Dieu, et que ce Dieu est l’Éternel, la L
154
’est celui qui recrée une mesure en se mettant au
service
de la foi. Luther à Worms et à Augsbourg, voilà le clerc, le fanatiqu
155
tique de la vie qui obéissent à un but commun, au
service
duquel s’harmonisent et se confondent les énergies tant spirituelles
156
dividu. — L’homme ne vaut que par son activité au
service
du peuple ou du prolétariat, c’est-à-dire, concrètement, au service d
157
ou du prolétariat, c’est-à-dire, concrètement, au
service
du Parti, qui selon la parole du Führer est « la volonté organisée de
158
rands desseins, et ordonnant toutes choses à leur
service
, c’est l’histoire des objets, des langages, des génies ou des organis
159
s de jeunes gens dans les camps de vacances ou de
service
civil. Mais tout cela n’est encore que prodromes. Les premières grand
160
de notre rôle, lequel est d’incarner l’esprit au
service
de la vérité. Je définirai donc mon attitude comme un opportunisme de
161
igues, les mêmes tactiques, la même démagogie, au
service
de doctrines qu’ils croient antagonistes. Ils ne voient pas que le st
162
rganisées pour l’offensive et l’agression sont au
service
d’États qui prétendent tous n’avoir que des buts défensifs. Ainsi le
163
avers de sanglantes erreurs parfois, le secret du
service
commun dans la cité, secret que nous avait fait perdre un siècle de s
164
unit deux hommes par un lien d’entraide libre, au
service
d’un même but, et non point par une discipline de marche. La vraie co
165
ses ; c’est changer de but, et mettre en œuvre au
service
d’un but nouveau une force intacte, endormie jusqu’ici. Ce n’est pas
166
et dans son scepticisme, tant qu’elle les met au
service
de l’homme, tant qu’elle combat pour un idéal supérieur d’autonomie p
167
le d’une force d’émancipation tant qu’elle met au
service
d’un idéal à conquérir ses puissances conjuguées de critique et de mi
168
e d’être l’outil manié par des mains ouvrières au
service
d’une passion aventureuse, comme c’était le cas chez Descartes ou che
169
ui est d’ordre géométrique. Tant qu’elle reste au
service
d’une fin qui comporte une unité vive, la raison remplit son office q
170
e, et dont la mesure actuelle est une tactique au
service
de la force commune, et non pas de la vérité…
171
igine et la fin du peuple : l’Éternel Dieu et son
service
. Parce qu’elle est la loi de Dieu, et que ce Dieu est l’Éternel, la L
172
’est celui qui recrée une mesure en se mettant au
service
de la foi. Luther à Worms et à Augsbourg, voilà le clerc, le fanatiqu
173
tique de la vie qui obéissent à un but commun, au
service
duquel s’harmonisent et se confondent les énergies tant spirituelles
174
ndividu : L’homme ne vaut que par son activité au
service
du peuple ou du prolétariat, c’est-à-dire, concrètement, au service d
175
ou du prolétariat, c’est-à-dire, concrètement, au
service
du Parti, qui selon la parole du Führer est « la volonté organisée de
176
rands desseins, et ordonnant toutes choses à leur
service
, c’est l’histoire des objets, des langages, des génies ou des organis
177
s de jeunes gens dans les camps de vacances ou de
service
civil. Mais tout cela n’est encore que prodromes. Les premières grand
178
de notre rôle, lequel est d’incarner l’esprit au
service
de la vérité. Je définirai donc mon attitude comme un opportunisme de
179
igues, les mêmes tactiques, la même démagogie, au
service
de doctrines qu’ils croient antagonistes. Ils ne voient pas que le st
180
rganisées pour l’offensive et l’agression sont au
service
d’États qui prétendent tous n’avoir que des buts défensifs. Ainsi le
181
avers de sanglantes erreurs parfois, le secret du
service
commun dans la cité, secret que nous avait fait perdre un siècle de s
182
unit deux hommes par un lien d’entraide libre, au
service
d’un même but, et non point par une discipline de marche. La vraie co
183
forma : celle des commerçants et des fermiers de
services
publics. À partir du iie siècle, les « chevaliers » (ou bourgeois) f
184
s fortunes énormes et scandaleuses aux dépens des
services
publics, comme en feront plus tard les prêteurs et « financiers » des
185
e.) Dès ce moment, les marchands pour payer leurs
services
, très réels, d’une manière abusive, exploitent à la fois les producte
186
Paul Vaillant-Couturier, Au
service
de l’Esprit (février 1937)ab Ce « rapport » a été approuvé à l’una
187
— Tout le problème est là : mettre la machine au
service
de l’homme. — Il s’agit de transformer le chômage en loisir. Je résu
188
communistes. ab. « Paul Vaillant-Couturier, Au
service
de l’Esprit, ESI », Esprit, Paris, n° 53, février 1937, p. 812-814.
189
apitaliste à la propriété humaine et Manifeste au
service
du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)ac Des quatre
190
ublie une sorte de discours-programme intitulé Au
service
de l’Esprit 46. Et l’on y lit que les fascistes sont les pires advers
191
riété humaine (Desclée de Brouwer) ; Manifeste au
service
du personnalisme (Éd. Montaigne), par Emmanuel Mounier », La Nouvelle