1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 trait d’un art infaillible qui nous jette dès le seuil du conte dans l’état passionné d’attente où naît l’illusion romanesqu
2 ès qu’il ambitionne, c’est d’amener un lecteur au seuil du choix : « J’ai voulu cela ! » ou bien : « Que Dieu m’en garde ! »
3 coup de menaces vitales, dans la souffrance et au seuil de la mort. Le troisième acte du drame de Wagner décrit bien davantag
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
4 ante n’est qu’un blasphémateur lorsqu’il écrit au seuil de la Vita Nuova, cette strophe au sublime départ : Un ange crie en
5 jeunesse provocante et enivrée de rhétorique, au seuil du tombeau de Mantoue voici le mythe de nouveau qui se dresse, à la l
3 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
6 passion devenue totalitaire ? ⁂ Ceci nous mène au seuil d’une conclusion que j’étais loin de prévoir en commençant ce livre.
4 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
7 usie. « Hommes et femmes dès qu’ils passent leur seuil souffrent de jalousie », dit un poème tibétain189. C’est que, passant
8 t un poème tibétain189. C’est que, passant « leur seuil  », sortant de leur être propre et du présent tel qu’il leur est donné