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ouage de l’État. Enfin la personne n’est plus une
simple
idée. C’est la réalité paradoxale et dynamique de l’homme qui a fait
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ritent encore de porter ce nom, et ne sont pas de
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oligarchies de financiers et de démagogues. Tout ce qui s’est fait de
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s pensent au contraire que le Führer est un homme
simple
et bon, quoique énergique, sorti du peuple, assoiffé de justice, rest
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tuation complexe où il se trouve, au but final et
simple
assigné à sa vie. Or nous voyons au xxe siècle plusieurs « orthodoxi
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e voit pas très bien qui a la parole ? C’est fort
simple
, un seul parle souvent, c’est Nicolas de Flue. On le met en vedette p
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opinions personnelles à la place de l’exposition
simple
et fidèle de la pure Parole de Dieu. » Du point de vue qui nous intér
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personne dans les pays totalitaires ? C’est très
simple
. On a détruit l’un des deux pôles de la personne : celui de la libert
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duire, cette fois-ci, d’une manière indirecte, du
simple
fait qu’ils affaiblissent nos résistances spirituelles. C’est ici de
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esprit subversif. Ils exigent toujours des choses
simples
. Au besoin, ils les simplifient terriblement. C’est ainsi que certain
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garde ! Cette passion maladive pour les choses «
simples
» tend à supprimer pratiquement toute possibilité de jugement libre,
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distinguer. Pourquoi ? Parce que c’est bien plus
simple
, et plus facile de tout ramener à des mesures médiocres et uniformes.
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s mesures médiocres et uniformes. C’est bien plus
simple
et plus facile que de tenir compte des vivantes complexités, des voca
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n et d’un Suisse, les traités ne seront jamais de
simples
chiffons de papier ! La Confédération reste fondée sur la fidélité à
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tte vocation, l’on s’aperçoit que ce n’est pas si
simple
. Que signifient ces mots : défendre et illustrer le principe du fédér
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le montrer sans phrases ronflantes, par des mots
simples
, peut-être usés déjà, mais auxquels notre situation rend un pouvoir.
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ontraire à notre perte à tous. Ces remarques sont
simples
et utilisables. Elles ne sont pas originales. Il me suffit qu’elles s