1 1943, Articles divers (1941-1946). Rhétorique américaine (juin-juillet 1943)
1 que française veut qu’un discours, un essai ou un simple article, soient introduits par quelques précautions verbales, qui cré
2 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
2 opineront-ils, les bras au ciel. Mais c’est très simple . Un homme qui meurt de faim mange n’importe quoi pour tromper sa faim
3 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
3 . Le premier est un pur concept, le second est un simple objet. À ces deux mutilations de la notion d’homme, les jeunes intell
4 els hochèrent la tête. Ils ne croyaient pas qu’un simple civil pourrait du jour au lendemain se transformer en bon manœuvre. L
5 t restées au stade de la classification des corps simples par Mendeleïev, quand nous en sommes au siècle de la physique quantiq
4 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
6 t été d’abord jaugé, chiffré, et défini en termes simples . À mon tour de me défier d’une convention aussi commode. C. Il me se
7 où prend-on dans le monde rien qui soit « clair, simple et facile » en soi ? Le monde dans lequel nous vivons et parlons n’es
8 mes pensées en commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à connaître. » Voilà qui paraît clair, j’entends co
9 uler devant cet autre exploit : poser que le plus simple est aussi le plus proche, et qu’il faut commencer par là. C’est sans
10 ’idées ! Commencer par le commencement ! Aller du simple au compliqué ! Que cela paraît plein de bon sens ! Le beau cliché, la
5 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
11 os dans un jeu de personnages et d’aventures très simples . Le mythe se développe en légende, et la légende sacrée convoie un en
6 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
12 ent le monde des planètes ; puis 12 lettres dites simples qui figurent les 12 signes du zodiaque que parcourt le soleil pendant
13 housiasme, aveuglement, ignorance, déraisonnable, simple , niais. Renversée. Folie, imbécillité, insouciance, bêtise, impruden
14 n’est pas un lunatique quelconque, un idiot ou un simple d’esprit. C’est ce qu’il paraît. Si quelque étranger aux habits sales
7 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La pensée planétaire (30 mars 1946)
15 é universelle, qui relègue les nations au rang de simples provinces. Laissez-vous entraîner quelques instants dans ce jeu gravi
8 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : Post-scriptum (27 avril 1946)
16 mbe n’est pas dangereuse ? — Pour une raison très simple . La Bombe est un objet. Les objets ne sont jamais dangereux. Ce qui e
9 1946, Articles divers (1941-1946). Faut-il rentrer ? (4 mai 1946)
17 problème partir ou rester se résoudrait en termes simples  : on verrait vite que c’est un faux dilemme. Le fait est là : nous al
10 1946, Articles divers (1941-1946). La pensée planétaire (30 mai 1946)
18 é universelle, qui relègue les nations au rang de simples provinces. Laissez-vous entraîner quelques instants dans ce jeu gravi
11 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
19 uveraineté sans limites des nations. C’était trop simple . Un colonel de cavalerie à qui vous fîtes imprudemment lire ma lettre
12 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
20 n’imagine. La procédure était, en effet, des plus simples . — Témoignez, disait-on, de la vie que vous possédez. Quel est votre
13 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
21 nce, il y a les catholiques et les laïques, c’est simple  ; mais il y a d’autre part trente-six partis et sous-partis, tendance
22 il y a les républicains et les démocrates, c’est simple  ; mais il y a d’autre part trente-six « stocks » d’immigrants, et tre
23 se. Je compare et vous laisse juger. Ce n’est pas simple . Et cela va peut-être choquer ? Que voulez-vous, j’ai deux amours. Or