1 ce, mais secrètement complices, du retrait pur et simple d’une part, ou du conformisme pur et simple d’autre part, l’une et l’

2 ur et simple d’une part, ou du conformisme pur et simple d’autre part, l’une et l’autre de ces démissions présentant l’avantag

3 tudes. Ce paradoxe s’explique d’une manière assez simple . Prenons l’exemple de l’homme chrétien. Il peut lire dans les Écritur

4 ’inceste dans Musil, la luxure dans Miller, ou le simple coït dans l’amour ? Il voit ce qui le choque, qui est aussi ce qui le

5 t chacun refuse de tolérer fût-ce un instant, par simple hypothèse de dialogue, les bonnes raisons que peut invoquer l’autre.

6 monde que dénotent ces constatations — tellement simples et tellement évidentes que la plupart des historiens me paraissent le

7 ume en un coup d’œil. Car autour de la place d’un simple village d’Europe vous trouvez l’église et la mairie, souvent l’école

8 peu de choses plus une culture. Cette définition simple me rappelle l’équation la plus célèbre du siècle, qu’est celle d’Eins

9 dans le tiers-monde ont des notions beaucoup plus simples du progrès, tant social et moral que purement matériel. Les premiers

10 réelle. J’ai inventé un petit jeu graphique, très simple . Prenez une feuille de papier quadrillé. Dessinez trois rectangles ve

11 faire complexe et lente, quand la sexualité était simple et rapide ; et surtout une affaire gratuite, bonne pour ceux qui ont