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e d’un gratte-ciel couché. C’est la ville la plus
simple
du monde. Douze avenues parallèles, dans le sens de la longueur, qui
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ne réalité, et qui change tout. Mon argument sera
simple
, le voici : Si notre Europe n’existait plus, si c’était vrai, vous ne
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er l’Europe aux masses, avec franchise, en termes
simples
et concrets. La vraie lutte pour l’Europe commence. Elle ne sera pas
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rels et mondiaux. Je pars d’un raisonnement assez
simple
, en trois points : 1. L’union entre des peuples ne saurait se faire e
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étruirait les bases mêmes de notre dynamisme. Une
simple
alliance d’États souverains ne répondrait nullement aux exigences du
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lle manière qu’elle ne soit pas méprisée comme un
simple
sermon ? » « La décision n’appartient-elle pas aux Soviets ? Car s’il
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est pas vertu, mais atteinte à l’ordre sacré — ou
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erreur d’exécution. Mutatis mutandis, il en va de même dans les cultu
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xe siècle ! Une politique européenne de ce type,
simple
transposition de la formule d’État-nation à l’échelle continentale, s
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nières de parler plus ou moins nobles, ou pure et
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captatio démagogique. Mais je vois aussi que seuls, des Européens, ra
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« solution » aux problèmes de la Suisse, pour la
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raison qu’il l’a faite et que seul il la définit en tant que Suisse.