1 rane cette forme mythique. Comme une grande image simple , comme une sorte de type primitif de nos tourments les plus complexes

2 ’un mythe est une histoire, une fable symbolique, simple et frappante, résumant un nombre infini de situations plus ou moins a

3 Tristan, c’est qu’il permet de dégager une raison simple de notre confusion présente. C’est qu’il permet aussi de formuler cer

4 ècle, était devenu pour les seigneurs une pure et simple occasion de s’enrichir, et d’annexer des terres données en dot ou esp

5 langage du poème : or on sait qu’il est des plus simples . 5. La raison dont je parle ici étant l’activité profanatrice qui s’

6 est très généralement conçu comme le plaisir, la simple volupté physique. Et la passion — au sens tragique et douloureux — no

7 Le principe d’explication de ce tableau est assez simple . Le platonisme, au temps de Platon et durant les siècles suivants, ne

8 é les conceptions platoniciennes. L’homme le plus simple use couramment d’expressions et de notions qui remontent à Platon.26 

9 Cène qui le traduit (et qu’ils remplacent par une simple agape commémorative). Ils se fondent sur une interprétation purement

10 deux groupes : les parfaits (perfecti 43) et les simples croyants (credentes ou imperfecti). Seuls les seconds avaient le droi

11 On a trop longtemps cru que la cortezia était une simple idéalisation de l’instinct sexuel. À l’inverse, il serait excessif de

12 ersécutée (thèse de Rahn, Péladan et Aroux) ou de simples allégories illustrant la morale et la mystique courtoises. Toutes les

13 ons exigeait la forme du récit, et non plus de la simple chanson79. Ainsi s’explique par des raisons spirituelles la formation

14 ieuse détermine à lui seul la courbe puissante et simple du récit. Mais en même temps, Tristan est le plus « breton » des roma

15 e ce problème comporte une solution définitive et simple . Mais il me paraît important de reconnaître au moins, sa position. Qu

16 selon la formule moderne du genre, et non pas un simple poème. Il n’en reste pas moins que dans l’ensemble, et si l’on consid

17 est séparé de sa « dame ». La psychologie la plus simple rendrait compte de ce phénomène. Mais il ne sert ici que de prétexte

18 urs générations. C’est que pour admirer la nature simple , pour accepter certaines mélancolies, et même pour se suicider, il fa

19 resque impossibles à établir, pour la raison bien simple que l’Église a détruit tous les documents, je m’en tiendrai à un juge

20 ystiques ; elle s’est alors trouvée réduite à une simple forme d’expression, c’est-à-dire à une rhétorique. Mais automatiqueme

21 théorie revient à faire de l’amour passionné une simple erreur. « Non point que la passion se trompe souvent, précise-t-il, m

22 de le renier, mais qui en vit. Le calcul est très simple , et bien entendu inconscient. L’idéal glorifié par la littérature dét

23 and il s’est mis à abandonner la notion droite et simple des lois de la guerre, à spiritualiser la matière, en négligeant le s

24 hez l’autre seulement — la coquetterie est un peu simple  — mais on en vient à désirer que l’être aimé soit infidèle pour qu’on

25 on l’imagine de nos jours est la négation pure et simple du mariage que l’on prétend fonder sur lui. C’est qu’on ne sait pas a

26 ellement éliminée, disqualifiée, et définie comme simple déficience sociale (ou sabotage) devra se réfugier dans le secret. Ma

27 tifierait soit par le récit du miracle de Cana («  simple hypothèse », dit l’auteur) ; soit par le passage où Jésus proclame qu

28 e. Mais elles sont mises en pleine déroute par la simple véracité. La fameuse « paix du foyer » n’existe guère qu’au niveau d’

29 lité se garantit elle-même contre l’infidélité du simple fait qu’elle habitue à ne plus séparer le désir et l’amour. Car si le

30 dépasser notre dilemme ne saurait être la pure et simple négation de l’un de ses termes. Je l’ai dit et j’y insiste encore : c

31 ue jour de leur bonheur. (Ces choses-là sont trop simples et totales pour qu’un discours vienne mettre ses délais entre la ques