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opinions personnelles à la place de l’exposition
simple
et fidèle de la pure Parole de Dieu. » Du point de vue qui nous intér
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personne dans les pays totalitaires ? C’est très
simple
. On a détruit l’un des deux pôles de la personne : celui de la libert
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nduire, cette fois-ci d’une manière indirecte, du
simple
fait qu’ils affaiblissent nos résistances spirituelles et nous font p
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t coutume de dire : « Tout ce qui n’est pas aussi
simple
qu’une gifle ne vaut rien pour la guerre. » Grâce à Dieu, nous sommes
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à l’œuvre dans les faits, et dans des faits très
simples
, bien connus, qu’il suffira de rassembler pour qu’une leçon claire s’
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« Tout est en désordre ? ont-ils dit. C’est bien
simple
. Nous allons proclamer que l’intérêt de l’État dont nous sommes deven
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aix que nous devons invoquer ne peut pas être une
simple
absence de guerre. Spirituellement, une vraie paix sera toujours plus
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Il convient de se demander s’ils sont de purs et
simples
privilèges, ou s’ils ne comporteraient pas aussi des devoirs ; ensuit
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esprit subversif. Ils exigent toujours des choses
simples
. Au besoin, ils les simplifient terriblement. C’est ainsi que l’hitlé
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garde : cette passion maladive pour les choses «
simples
», elle tend à supprimer toute possibilité de jugement libre, toute v
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distinguer. Pourquoi ? Parce que c’est bien plus
simple
, et plus facile de tout ramener à des mesures médiocres et uniformes.
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s mesures médiocres et uniformes. C’est bien plus
simple
et plus facile que de tenir compte des vivantes diversités, des vocat
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n et d’un Suisse, les traités ne seront jamais de
simples
chiffons de papier ! La Confédération reste fondée sur la fidélité à
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tte vocation, l’on s’aperçoit que ce n’est pas si
simple
. On s’aperçoit aussi que ces mots, un peu usés, recouvrent des réalit
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ce n’est pas créer un nouvel ordre systématique,
simple
de lignes, clair et satisfaisant pour la logique. Fédérer, c’est tout
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) il faut avoir compris au moins cette chose très
simple
et des plus quotidiennes : la différence infinie qui existe entre « f