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dénudée par ces questions une réponse évidente et
simple
. Elle tient dans un très petit mot, vague et poignant : c’est le mot
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es définir dans l’actuel. Sauver l’Europe — c’est
simple
à dire vraiment — sauver l’Europe, c’est pratiquement, et aujourd’hui
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a question de l’avenir du monde se résume dans ce
simple
dilemme : la Planète unie ou la Bombe. Et je veux dire : Si les État
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non entre les blocs. Tout cela repose sur l’idée
simple
que nous sommes pris entre deux grands empires également impérialiste
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ois, car il est la morale commune, et non pas une
simple
tactique. Et ainsi de suite. Toutes les comparaisons précises et obje
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es les grandes idées, l’idée fédéraliste est très
simple
, mais non pas simple à définir en quelques mots, en une formule. C’es
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l’idée fédéraliste est très simple, mais non pas
simple
à définir en quelques mots, en une formule. C’est qu’elle est d’un ty
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comme je le disais tout à l’heure, est à la fois
simple
à sentir et très délicate à formuler. Mais c’est peut-être aussi, et
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e recourir aux solutions systématiques, aux plans
simples
de lignes, clairs et satisfaisants pour la logique, mais par là même
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ue, et finalement militaire. Le totalitarisme est
simple
et rigide, comme la guerre, comme la mort. Le fédéralisme est complex
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, comme la paix, comme la vie. Et parce qu’il est
simple
et rigide, le totalitarisme est une tentation permanente pour notre f
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actuel. Et je propose quelques observations très
simples
, qu’il suffit de grouper pour qu’elles parlent clairement, et d’ordon
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ropéenne de l’homme. Cette idée-là n’est donc pas
simple
, mais dialectique ; elle n’est pas achevée, mais ouverte ; elle est à
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l’ordre absolu. Les lois de ce progrès sont assez
simples
. Pour peu que l’individu, abusant de ses droits et de sa liberté, dev
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a culture. Et cela aussi ne s’était jamais vu. Ce
simple
fait, qu’établit à vos yeux notre séance plénière de ce matin, me par
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e. La culture véritable n’est pas un ornement, un
simple
luxe, ni un ensemble de spécialités qui ne concernent pas l’homme de