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ns, 8000 ans, il n’importe), à une province, à un
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canton de l’évolution de l’homme dans l’espace et le temps. Qu’on ne
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lle, si pure qu’elle se ramène pratiquement à une
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incertitude à laquelle on passe outre « parce qu’il faut bien vivre »
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ar alors, l’engagement n’est plus un acte mais la
simple
constatation d’un état de fait, d’une condition que l’on subit, et qu
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de Dieu, la révolte individuelle est une pure et
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sottise, qui mérite d’être corrigée par les moyens que l’on sait. Il
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n métaphysique et religieuse. Le dilemme est très
simple
. Si Dieu n’existe pas, s’il n’y a pas de transcendance, si l’ici-bas
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suffirait à ridiculiser n’importe qu’elle vérité
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habillée de la sorte.t Quant à nos lieux de culte, également, il me
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r le décor, l’architecture et l’ornementation, de
simples
salles de conférence, mais difficiles d’accès et presque toujours clo
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e catastrophes they helped unleash, and which the
simple
search for material comfort can hardly replace. Others believe that b
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s le chaos de demain ? Nous proposons une réponse
simple
. Les Églises pourront agir et inspirer si elles sont fondées sur une
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« sensibilité spirituelle » d’un réformé.ay Le
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fait que le calvinisme ait été dès le début une Église minoritaire, e
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our expliquer les notions philosophiques les plus
simples
, dans le Livre de Job, dans l’Ecclésiaste, est quelque chose de surpr
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rté, de coûteuses licences intellectuelles, ou de
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facilités… 8. La littérature en général trouve à se nourrir moins dan
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outume de répondre à cette question d’une manière
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en apparence. On pense que les artistes font des objets inutiles (ou,
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ance très inégale d’ailleurs. La première est une
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constatation de fait, que je verse au débat sans juger. Les principau
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x de qui n’a pas leur « foi », nécessairement, un
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opportunisme ? Que sert alors de discuter, de confronter ? « Rien ne
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enracinée dans l’homme pour être atteinte par une
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critique philosophique28. Or cette critique philosophique est la seul
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ansformation ? Une mauvaise humeur résignée ? Une
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réticence ou réserve mentale au sein du conformisme triomphant ? C’es
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vivante de Jésus-Christ, et non pas la théologie,
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autocritique de l’Église et du message que l’on prêche dans l’Église.
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ommun, du fait même qu’ils sont hommes et non pas
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animaux, c’est le besoin profond de dépasser leur condition présente,
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tudes. Ce paradoxe s’explique d’une manière assez
simple
. Prenons l’exemple de l’homme chrétien. Il peut lire dans les Écritur
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progrès constant qui a permis à notre continent,
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« cap de l’Asie » comme on sait, de dominer toute la Planète. C’est l
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ir que de se distinguer. Il n’est pas non plus le
simple
rouage, la simple fonction dans l’État qu’était le citoyen romain, pu
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nguer. Il n’est pas non plus le simple rouage, la
simple
fonction dans l’État qu’était le citoyen romain, puisqu’il possède un
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ions des groupes nationaux non étatiques. Ce fait
simple
institue pour le mouvement œcuménique une possibilité historique sans
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’exprime pas un vœu ou une objurgation, c’est une
simple
constatation, l’homme est ainsi : incapable d’être satisfait et de bi