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ratiques, tendant toutes à la suppression pure et
simple
des obstacles à la libre circulation. […] Pour la recherche scientifi
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eprises. La stratégie de l’opération me semblait
simple
: il s’agissait de réunir, au service de l’idée fédéraliste, des moye
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méricains. La raison de cet apparent paradoxe est
simple
: nous ne nous sentons pas 325 millions d’Européens, mais seulement 4
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uns des plus grands PDG du continent accepter par
simple
dévouement à la cause de l’Europe, de consacrer en trois ans douze fo
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e ce qu’on appelle le progrès, par une chose très
simple
: le bonheur de l’homme, le simple bonheur dans sa vie de tous les jo
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une chose très simple : le bonheur de l’homme, le
simple
bonheur dans sa vie de tous les jours. Un idéal qui vaut la peine d’u