1 gouverner vaut mieux qu’être bien gouvernés” (un slogan des autonomistes écossais), c’est pour nous amener à la réflexion sur

2 re l’union de l’Europe. Tel était bien le sens du slogan qui ouvrait le Message final de la conférence de Lausanne consacrée e

3 sanne consacrée en 1949 à l’Europe de la culture, slogan qui m’avait été dicté par Carlo Schmid, alors vice-président du Bunde

4 devient pure et simple tactique, et tout finit en slogans assénés. Le philosophe-roi de Platon fait place au premier secrétaire

5 civilisation qui dégrade tout et convertit en un slogan ,“métro-boulot-dodo”, les aspirations naturelles de l’homme ». Il ne l

6 dont le rapport sur l’état de l’union donne le slogan par la formule : « Écologie, régions, Europe fédérée : même avenir ».

7 (EDF) désire augmenter ses ventes, elle lance le slogan du « tout électrique » destiné à créer le besoin quitte à avouer par

8 tre sens admirable du terme : celui qu’indique le slogan des autonomistes gallois : « Better self governed than well governed 

9 t très mal fait — me rappelle irrésistiblement un slogan publicitaire bien connu sur une certaine pile (électrique) qui « ne s

10 elles. La liberté du siècle présent se réclame du slogan utopique : à chacun sa chance. Mais la liberté et l’engagement de la