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rquent les étapes de cette dissolution du système
social
tripartite hérité de l’ancêtre aryen. Sur l’arrière-fond commun, les
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s leur vie religieuse, moins encore dans leur vie
sociale
. Mais c’est sans doute lorsqu’on se pose la question : que vaut un h
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serait le cas au plan de l’économie ou de l’état
social
par exemple ? Je cherchais à cerner les options primordiales qui ont
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ant les « résistants » au processus d’intégration
sociale
. 4. Il y a peut-être en Inde autant d’idoles que d’habitants, si l’o
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ant de là, dénient toute personnalité économique,
sociale
ou scientifique à l’Europe qu’il faudrait unir, sont bien souvent les
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de situer cette morale de la vocation dans la vie
sociale
. C’est, dit Rougemont, une question de feux rouges et de feux verts,
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lieux communs : le Progrès, la Démocratie, l’État
social
, la Morale athéiste. Tout ce qui compte en Europe est donc antibourge
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ante : parlons d’argent, c’est le secret du drame
social
. Mais Freud un peu plus tard : parlons du sexe, c’est le secret du dr
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t totales. Appliquer l’analyse marxiste au milieu
social
de Freud, la psychanalyse au cas individuel de Marx, les critères fre
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e know how des procédés techniques, politiques et
sociaux
les plus voyants et les plus récemment mis au point par notre civilis
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expression, le droit au travail et à la sécurité
sociale
ou privée (assurances, retraites, etc.), la souveraineté nationale et
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ersonne humaine et les fondements de tout progrès
social
. Et non pas le système des classes hindoues, ni le mandarinat, ni le
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ersités linguistiques, religieuses, politiques et
sociales
. Ils ne se demandèrent pas : comment devenir une Nation ? mais bien :
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à gouverner. Cette agitation et ces déséquilibres
sociaux
devaient nourrir le mouvement de « Régénération » qui se prononça dès
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n question jusqu’à nos jours. L’essor économique,
social
et culturel de la nouvelle Suisse unie fut immédiat. Aucune des catas
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le catholicisme romain, la découverte du problème
social
(un peu forcée) dans l’orthodoxie gréco-russe, et l’union des Églises
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aux problèmes concrets de mon temps, économiques,
sociaux
et politiques (je crains d’avoir lancé le terme d’engagement). Mais j
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onales, religieuses et morales, philosophiques et
sociales
— et leur coexistence dans l’espace et le temps, et leur mutuelle con
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ques, son hygiène, ses institutions politiques et
sociales
, son parlementarisme, ses syndicats, tous ses arts et sa philosophie
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onales, religieuses et morales, philosophiques et
sociales
— et leur coexistence dans l’espace et le temps, et leur mutuelle con
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aissé de côté l’immense chapitre de nos créations
sociales
et de nos institutions ! — voilà ce que l’Europe a créé, voilà ce qu’
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ques, son hygiène, ses institutions politiques et
sociales
, son parlementarisme, ses syndicats, tous ses arts et sa philosophie
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rait son siège d’opérations à Amsterdam, le siège
social
restant à Genève. (C’est en effet le Conseil fédéral suisse qui est l
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de retourner contre nous nos propres armes, tant
sociales
et morales que matérielles… N’est-ce pas assez pour justifier les pro
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ère, et tous ces éléments spirituels, juridiques,
sociaux
ou philosophiques, se combinent et permutent à doses variables dans n
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ques, son hygiène, ses institutions politiques et
sociales
, son parlementarisme, ses syndicats, et tous ses arts et sa philosoph
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ersonne humaine et les fondements de tout progrès
social
; et non pas le système des castes hindoues, ni le mandarinat, ni le
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ns l’adoption rapide des formes de vie politique,
sociale
et économique élaborées par l’Europe moderne. Résumons cela : je vois
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j’entends bien : de toutes les forces de l’Europe
sociales
autant que religieuses, et politiques autant que culturelles, cette u
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ipse ou disparition d’une civilisation ? », Stato
sociale
, Turin, 1960, p. 546-561.
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croyances autant que nos instincts, les interdits
sociaux
et religieux autant que les désirs secrets de l’individu et les possi
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l’instinct, et qui va se heurter aux conventions
sociales
. Ainsi, l’amour-passion est cette forme de l’amour qui se libère des
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prise l’épreuve de l’engagement dans les rapports
sociaux
, et même de l’engagement dans un rapport concret avec un Autre toujou
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« beau conte d’amour et de mort ». Les obstacles
sociaux
, coutumiers ou sacrés, ont cédé à nos sciences, ou c’est tout comme.
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par la négligence désinvolte de son comportement
social
; ses accès d’ambition presque mégalomane que par son mépris de l’arr
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agogues, nous les voyons tous assumer des devoirs
sociaux
ou civiques, éducatifs ou spirituels, comme si le fait d’être utile e
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prix de revient, de niveaux de vie, d’ajustements
sociaux
et monétaires, en attendant peut-être, un jour, une sorte de confédér
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t mercantile, est en fait partagée par les élites
sociales
de notre continent : il suffit pour s’en assurer de comparer nos budg
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prit communautaire et du sens des responsabilités
sociales
d’autre part. Ces deux grandes tâches, je le répète, sont vitales et
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orientait vers un programme plus vaste d’entraide
sociale
et de rénovation économique et politique. Elle avait au départ formé
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pousse à la centralisation et à l’uniformisation
sociale
, économique et éducative du continent. Fédéralistes et unitaires, mon
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s dans la cité, — cette attitude « classique » ou
sociale
de l’esprit, que j’ai tenté dans mes premiers ouvrages de décrire par
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ctrines aient suscité dans l’Occident une éthique
sociale
et civique, un type neuf de relations politiques, enfin des formes de