1 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
1 tre premier numéro, que la solution des problèmes sociaux réside, par exemple, dans un embrassement général et sans condition,
2 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
2 onnelle. On songe ici tout de suite à la question sociale . On se souvient peut-être aussi des libéraux spiritualistes qui aimai
3 aient à dire : « La solution des grands problèmes sociaux est une question de morale individuelle. » L’originalité d’une morale
4 morale individuelle apte à résoudre les conflits sociaux se réduirait probablement aux vertus de surdité, de cécité et de muti
5 ersement de l’individualisme. Ramener la question sociale aux limites de la personne, c’est constater que la question sociale,
6 s de la personne, c’est constater que la question sociale , en tant qu’elle est question exigeant une réponse ne se pose pas ail
7 et l’on institue la police pour soutenir un corps social qui s’abandonne ; enfin la police décrète qu’elle est elle-même la fo
8 nent en fin de compte retentir tous les problèmes sociaux et spirituels. C’est en elle, et c’est en elle seule, qu’ils provoque
9 ssi, par conséquent, l’individu moral, l’individu social par excellence. Mais dans son acte seulement, c’est-à-dire dans l’ins