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tre premier numéro, que la solution des problèmes
sociaux
réside, par exemple, dans un embrassement général et sans condition,
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onnelle. On songe ici tout de suite à la question
sociale
. On se souvient peut-être aussi des libéraux spiritualistes qui aimai
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aient à dire : « La solution des grands problèmes
sociaux
est une question de morale individuelle. » L’originalité d’une morale
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morale individuelle apte à résoudre les conflits
sociaux
se réduirait probablement aux vertus de surdité, de cécité et de muti
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ersement de l’individualisme. Ramener la question
sociale
aux limites de la personne, c’est constater que la question sociale,
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s de la personne, c’est constater que la question
sociale
, en tant qu’elle est question exigeant une réponse ne se pose pas ail
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et l’on institue la police pour soutenir un corps
social
qui s’abandonne ; enfin la police décrète qu’elle est elle-même la fo
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nent en fin de compte retentir tous les problèmes
sociaux
et spirituels. C’est en elle, et c’est en elle seule, qu’ils provoque
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ssi, par conséquent, l’individu moral, l’individu
social
par excellence. Mais dans son acte seulement, c’est-à-dire dans l’ins