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t de réorganiser, si l’on entend recréer un corps
social
vivant, et une « commune mesure » pour les diverses activités de l’ho
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n ainsi comprise est aussi indispensable à la vie
sociale
que l’imagination l’est à la vie individuelle. D’ailleurs, si la viol
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aux, par des contraintes externes, un « rendement
social
» immédiat, et l’on ne s’aperçoit pas que ce faisant, l’on détruit le
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i l’on passe d’un groupe à un autre, d’une classe
sociale
, d’une région à une autre. Que savons-nous des résonances qu’éveillen
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qui est en train de leur faire découvrir le fait
social
et les problèmes qu’il pose. D’une part, la force et la rapidité de l
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le sens vulgarisé de l’État et le sens du service
social
. Staline proclame une religion du travail, et les Russes sont les plu
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n’ont pas le droit de se mettre en grève. La paix
sociale
a été obtenue par la fixation des devoirs réciproques à un niveau de
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t partir pour un Schulungslager (camp d’éducation
sociale
). Ça ne l’enchante pas. Je le revois trois semaines plus tard. — Ce
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le et aux élites que sous l’aspect de survivances
sociales
; où les classes nées du développement économique rassemblent abstrai
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, l’armée et la police ; où tout principe d’union
sociale
et spirituelle, toute commune mesure a disparu, — il est fatal que se
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tabli l’ordre dans la rue. Il fait régner la paix
sociale
. Il y avait six millions de chômeurs en 1933, tandis qu’on manque de
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erdre toute espèce de sens ! Croit-on que l’ordre
social
qu’on admire en Allemagne puisse être obtenu à bas prix, par des méth
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smes qui chez nous sont encore la réalité même du
social
? Que la paix est obtenue par l’écrasement des faibles ? Que l’unanim
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ur manière propre le problème religieux (plus que
social
) qu’ont résolu, vaille que vaille, les dictateurs. Refaire une commun