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nts, les cartes de pain, des menaces de violences
sociales
. Que devenaient, dans tout cela, les belles synthèses de la théologie
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s’agissait-il ? Ni de théologie, ni de problèmes
sociaux
, ni de morale ; ni même d’évangélisation. Il s’agissait de mettre en
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d et le plus populaire de son pays, une puissance
sociale
et religieuse dont l’Occident ne connaît pas d’exemple. Un récit auto
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as tout le roman français. Balzac, c’est le roman
social
. Balzac — et Stendhal, bien sûr — ce sera l’honorable, la géniale exc
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té qu’avait l’auteur de ne décrire que les effets
sociaux
, politiques et culturels de la Réforme, sans les rapporter à l’évolut
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’un des principaux initiateurs : le christianisme
social
, et l’union des églises non romaines, grande espérance œcuménique et
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ccidental : vies intérieures profondes, structure
sociale
stable et puissante, décor naturel envoûtant, intimement mêlé aux sen
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le souci de l’actualité et le goût des questions
sociales
à la lucidité sensible d’un compatriote d’Amiel, a déjà derrière lui
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de retourner contre nous nos propres armes, tant
sociales
et morales que matérielles… Que faudrait-il de plus, pour qu’on ait l
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ersonne humaine et les fondements de tout progrès
social
; et non pas le système des castes, ni le mandarinat, ni le Bushido.
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ion bien trop rapide des formes de vie politique,
sociale
et économique, élaborées par l’Europe moderne. Résumons cela : je voi
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colonisation de notre économie et de nos coutumes
sociales
par les Américains. Mais l’Europe ne pourra jamais se faire que selon