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il n’y aura bientôt plus — se dit-on — ni luttes
sociales
, ni lutte contre la nature définitivement asservie. Cet homme sera-t-
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u bien de faire triompher telle ou telle doctrine
sociale
adoptée par opportunisme ? À supposer même qu’une église parvienne à
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u’une église parvienne à construire une doctrine,
sociale
, morale, économique, qui puisse s’imposer au grand nombre sans violen
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x partis qui constituent des forces politiques et
sociales
dans la cité française d’aujourd’hui. Nous entrerions dans un débat t
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e qui est en son pouvoir pour réduire le scandale
social
. Aucun parti n’existe encore dans son pays, qui se consacre à la défe
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es japonaises, à la création d’importantes œuvres
sociales
, enfin à la constitution d’un grand mouvement syndicaliste. Vocation
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? Si nous nous mettions tous à faire de l’action
sociale
, à jouer les Kagawa, et à vivre dans les quartiers miséreux, ne serai
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pourquoi toute réforme de détail, ou toute œuvre
sociale
partielle apparaissent vouées à l’échec, tant qu’on n’aura pas recons
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s du mal. Oui, la tâche la plus pratique, la plus
sociale
qui s’offre à nous, c’est bien une tâche spirituelle : retrouver cett
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qu’il s’agit de rebâtir l’économie et les cadres
sociaux
. Vous voyez que nous retrouvons l’exigence spirituelle du chrétien. M
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à bâtir ce système, à développer ses conséquences
sociales
, à imposer enfin à ses adeptes un style de vie communautaire, que tra
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y trouverez toute une tactique nouvelle d’action
sociale
, toute une tactique de rupture avec le désordre établi, jusque dans l
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’esprit, entre les diverses activités humaines et
sociales
. Les années d’après-guerre seront probablement caractérisées par les
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r de la théologie d’une Église à des applications
sociales
, culturelles, politiques ou économiques, il semblerait bon de fixer c
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araît la plus féconde dans le domaine culturel et
social
est celle de Vocation (au sens calviniste et luthérien du mot, qui es
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ppel. C’est le principe fondamental de tout ordre
social
que l’on peut appeler chrétien. On peut aussi accepter l’idée d’une v
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oir une vocation. Maintenant les grandes maladies
sociales
et culturelles des temps modernes ont toutes cette caractéristique co
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sens de la vocation car elle nie ses conséquences
sociales
et communautaires. La principale critique que l’on puisse adresser à
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ogie qui nie la vocation personnelle ou un régime
social
qui dépouille l’homme de la liberté d’obéir à sa vocation sont incomp
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coup de maisons dans le Royaume de Dieu. Un ordre
social
ne peut être qualifié de chrétien à moins qu’il ne soit fondé sur le
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vocation divine, unique et inaliénable. Un ordre
social
chrétien sera ainsi œcuménique plutôt qu’unitarien. Il sera fédéral p
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ralisé (dans les domaines culturels, religieux et
sociaux
). Il placera les droits et les devoirs de l’individu (c’est-à-dire de
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du au point de vue matériel). Les conséquences
sociales
de la vocation 1) Une doctrine chrétienne, centrée sur l’idée de l
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ligieusement neutres comme le progrès, la justice
sociale
(de gauche), ou l’ordre social (de droite), l’intérêt national ou la
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ogrès, la justice sociale (de gauche), ou l’ordre
social
(de droite), l’intérêt national ou la prospérité économique. Le devoi
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x yeux de l’homme de la rue à une certaine classe
sociale
, à un ordre établi, ou à la réforme du moment. Elles cesseront d’être