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conflit concret, — et découvre bientôt qu’il est
social
ou politique. Ce n’était pas ce qu’elle cherchait, elle avait cru voi
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ique et proprement fiévreux des grands mouvements
sociaux
contemporains (hitlérisme) est très frappant. Il n’y a pas lieu d’ins
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ue et capitaliste ; elle s’oppose à l’émiettement
social
de la démocratie individualiste ; elle s’oppose à l’exploitation de l
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erreur plus profonde. Elle traduit, dans l’ordre
social
, une méconnaissance intime des valeurs et de leur hiérarchie. Elle tr
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porte rarement le poids des injustices du régime
social
. Il joue. Il joue une partie dont il ignore volontairement l’enjeu. C
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r le proverbe. Les lois générales, économiques ou
sociales
, sont toujours justes, dans la mesure où nous démissionnons de notre
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partis politiques seraient sans force, les luttes
sociales
perdraient beaucoup de leur violence. Sans eux, nous ne saurions pas
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éritable nature des rapports humains et du statut
social
dont ils étaient les bénéficiaires. L’affirmation brutale du primat d
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primitivement bon a été gâté par des institutions
sociales
irrationnelles, et qui l’ont exploité. (Mais d’où vient cet esprit d’
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nous, de théoriciens du désordre. Toute doctrine
sociale
, aujourd’hui, fût-elle même la plus subversive, est la doctrine d’un
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de l’ordre immuable, de la mesure (ou hiérarchie)
sociale
imposée. C’est une doctrine pessimiste, une politique de la camisole
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éponse à une enquête de la Revue du christianisme
social
, sur l’attitude des jeunes protestants devant les problèmes sociaux e
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itude des jeunes protestants devant les problèmes
sociaux
et culturels du temps. 24. Illustration politique : à tout système q
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n a essayé de nous faire croire que cet « ordre »
social
qui nous blessait, c’était un aspect nécessaire de l’« ordre chrétien
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ous de nos églises qu’elles énoncent une doctrine
sociale
opposée aux doctrines régnantes. Nous n’attendons rien d’aucun acte d
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saintes que l’Académie d’éducation et d’entraide
sociale
a pour mission de servir et de faire rayonner. » — L’idée de propriét
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urs, les vérités saintes, — l’Académie d’entraide
sociale
enfin ! Contribution à la « sauvegarde » : 50 000 francs. Ah ! qu’un
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e République… 32. Et non pas au nom d’un « ordre
social
chrétien », qui s’opposerait au désordre actuel, capitaliste ou marxi
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il n’y aura bientôt plus — se dit-on — ni luttes
sociales
, ni lutte contre la nature définitivement asservie. Cet homme sera-t-
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ire ; sa dialectique ; ses méthodes politiques et
sociales
. Je puis leur reconnaître une part importante de vérité, surtout dans
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elé « dieu » le principe de cohérence de leur vie
sociale
et privée. Le fascisme aboutit donc nécessairement à la divinisation
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apable d’édifier un monde culturel, économique et
social
qu’anime un risque permanent, essentiel. L’État marxiste idéal ne lai
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les antagonismes féconds pour l’ensemble du corps
social
. Elles cherchent à humaniser les hommes. Elles veulent l’union par et
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identiques à ceux qui seront à la base de la vie
sociale
quotidienne. Nous n’établissons pas de distinction théorique et inopé
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morales. Et tout ce que nous disons sur la morale
sociale
doit et peut être immédiatement traduit en institutions économiques p
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emple. Dans l’ordre nouveau, la véritable cellule
sociale
, c’est la personne, et non point la famille, qui lui est subordonnée.
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n pouvoir contre le capitalisme et les inégalités
sociales
qui en résultent, par exemple. 63. Le fait que l’égalité ne soit pos
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e livre, de philosophie politique et de doctrines
sociales
; cela paraîtra sans doute un comble d’ingénuité ou d’ironie — au cho
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une renaissance spirituelle, dont le présent état
social
ne permet pas de prévoir la nature. Et je ne donne ici que deux exemp
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Les fascistes, lorsqu’ils critiquent les plans
sociaux
des groupes personnalistes, ont coutume de les ranger sous une rubriq
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, et d’autant plus passionnément que ses coutumes
sociales
sont plus tyranniquement hiérarchisées et honorées. Le Français est l
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ées et honorées. Le Français est l’être le plus «
social
» du monde. On l’admet volontiers, mais il faut voir ce que cela sign
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ers, mais il faut voir ce que cela signifie. Être
social
, dans le sens de sociable, c’est honorer les catégories et convention
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able, c’est honorer les catégories et conventions
sociales
, les avantages, les commodités, les honneurs qui s’attachent au rang,
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n’est plus contradictoire. Le Français moyen, né
social
, et décidé à le rester, a besoin d’affirmer hautement qu’il est égali
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rales.) 4. Mieux vaut un convaincu sans influence
sociale
, que mille sympathisants prisonniers du désordre établi. (Car cet hom
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nifie que la période de transition au nouvel état
social
est dès maintenant inaugurée, à l’intérieur du désordre établi. (Cond
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ation, — et des attachements humains, des chaînes
sociales
. Du travailleur on a fait un salarié, — et de sa liberté on a fait le
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ion du socialisme français de ses buts proprement
sociaux
. Il a fait de la « gauche » un parti négatif, anticlérical d’abord. I
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fonder raisonnablement l’espoir d’une rénovation
sociale
et même culturelle de ce pays. C’est Proudhon, et non point Marx, qui
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éformes nécessaires. Les doctrines économiques et
sociales
développées par Esprit et surtout par L’Ordre nouveau auraient co
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assifs, refus du capitalisme créateur d’injustice
sociale
, de guerres, de chômage, d’immoralité publique et d’un mercantilisme
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phiques et leurs conclusions d’ordre politique et
social
. Ces conclusions ne manqueront pas d’impressionner certain public au