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que, ou furieux, ou content, etc. ; 3 — (problème
social
) — si les contacts inévitables et quotidiens entre un « intellectuel
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homme instruit jouit d’une certaine considération
sociale
, sait se débrouiller à Paris et peut faire de beaux discours. Dans ce
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ince et la vie quotidienne, une foule de réalités
sociales
passionnantes avec lesquelles j’ai hâte de confronter les hypothèses
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iques, ou sur la philanthropie. On parle du péril
social
créé par le chômage, dont on admet généralement qu’il est démoralisan
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ysement en profondeur — et non plus en surface —,
social
et non plus géographique… 21 janvier 1934 (dans l’île) Nous som
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934 Sur la pauvreté. — Elle n’est un problème
social
si grave que parce qu’elle est d’abord un problème moral non résolu.
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e faut être ni riche ni pauvre, selon les mesures
sociales
qui ne valent jamais que pour « les autres ». Il faut simplement être
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e toute l’Histoire. ⁂ Goethe vivait dans un ordre
social
dont les signes visibles et tangibles paraissaient solidement organis
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survivre à Werther — et de supporter la condition
sociale
, ce sera pour Goethe, désormais, de se construire un ordre individuel
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ré à son vertige individuel, rompant avec l’ordre
social
. Un Werther d’aujourd’hui, ce serait l’homme qui céderait au vertige
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hui, ce serait l’homme qui céderait au vertige du
social
démesuré, rompant avec son ordre individuel. Le suicide de Maïakovski
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vent pas y faire ». (Légère nuance de supériorité
sociale
chez Simard.) Nos hôtes nous avaient signalé la famille d’un mineur r
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araissent pas du tout se considérer comme un type
social
d’exception. Combien y a-t-il de classes entre la bourgeoisie des vil
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e supériorité qu’ils ne peuvent attribuer au rang
social
ni au salaire, c’est évident, mais seulement à leur religion. En véri
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ons économiques. On ne comprend rien à la réalité
sociale
de ce canton si l’on fait abstraction de tout cela dont le marxisme,
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uppression artificielle des conditions concrètes,
sociales
ou spirituelles, qui sont celles de chaque homme existant. (Ne pas co
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ieux communs, sur quoi repose, tacitement, la vie
sociale
, sont aujourd’hui vidés de leur signification à la fois symbolique et
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à d’autres. Il reste par bonheur : les assurances
sociales
, vie, décès, « avec doublage », vieillesse, accidents du travail, inc
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acquérir une situation bien définie dans le corps
social
.) Nous sommes méprisés dans la mesure où nous sommes intellectuels, e
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je viens de formuler. Premier fait : l’équilibre
social
doit être quelque chose de mouvant. Tout équilibre stable et sclérosé
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on. Ici interviendra le second fait : l’équilibre
social
, pour rester sain, mouvant, tendu, doit être orienté constamment par
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grès d’instituteurs, l’autre à un cercle d’études
sociales
. Les instituteurs voudraient que je leur parle de l’éducation de la p
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rle de l’éducation de la personnalité ; le cercle
social
, du mouvement personnaliste. J’irai. Je me fais une règle d’accepter
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s : congrès d’étudiants, cours ruraux, « journées
sociales
», amateurs de littérature, philosophes, paysans, cercles d’hommes, g
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x qui ne bénéficient pas de la loi des assurances
sociales
ont intérêt à assister à la conférence. L’organisation lutte afin de
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ans les partis d’extrême gauche, c’est que l’état
social
est à peu près paradisiaque. » J’ajouterais peut-être ceci : En tout
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tres aspects. Ces deux hommes sont du même niveau
social
, sans doute parents, de mœurs et de langage pareils. S’ils s’opposent
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la couvrait toute l’injustice concrète de l’ordre
social
. Aujourd’hui, on invoque le devenir dialectique de l’histoire (« Prog