1 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
1 n être jeune, et libre encore de toute contrainte sociale et culturelle : le dessin se simplifiera jusqu’au schème unique, le r
2 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
2 ns une certaine « mesure » compatible avec la vie sociale , cette situation est celle d’un jeu, non du sérieux. « Elle ne ressem
3 s, lorsqu’il dénonce les mythes de l’hégélianisme social . « Le meilleur moyen de s’en affranchir sera d’en revoir l’origine. P
4 us nécessaire de réfuter les objections du « sens social  ». Plusieurs ouvrages de Kierkegaard portent cette dédicace fameuse :
3 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
5 ice de leurs tâches banales et de leurs relations sociales , qu’ils en découvrent la foncière incohérence. Mais alors, tout devie
6 ectures les plus fréquentes et les préoccupations sociales de Kafka, telles que nous les décrit son biographe Max Brod, peuvent
7 es forces spirituelles par l’activité pratique et sociale , volonté qui se manifeste tout au long de son existence, se rattache
4 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
8 n’es-tu pas toi-même agi par de puissantes forces sociales , historiques, et économiques ? Toute ta science ne s’occupe-t-elle pa
5 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
9 crupule — sur des questions infiniment complexes, sociales ou théologiques, ne saurait s’expliquer autrement que par une défianc
6 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
10 ons, croyances et intérêts, instincts et conduite sociale . D’où naît une littérature d’intrigues pour laquelle il est clair que
11 en n’est plus facile à concevoir, dans notre état social , qu’un patriote qui, entre deux discours nationalistes, s’occupe à fa