1 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Le drame de la liberté, aujourd’hui
1 tre les deux camps. Les conceptions de la justice sociale elle-même ne suffisent pas pour distinguer nettement les adversaires 
2 l côté du rideau de fer il y a le plus de justice sociale , théorique ou pratique, promise ou réalisée. Par contre, ce qu’il est
2 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). L’anxiété de l’homme moderne
3 n temps de guerre ou de révolution — si l’élément social n’était venu se conjuguer avec eux, après la Première Guerre. Ce que
4 ns de les esquisser. Premier remède : réformes sociales La fuite devant la liberté, bien qu’elle soit par essence une atti
5 rait de modifier : je veux parler de l’insécurité sociale qui règne encore dans nos démocraties, plus ou moins libérales et plu
6 al totalitaire doit donc s’accompagner de mesures sociales , garantissant à chaque famille ou individu isolé, un minimum de sécur
3 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Contre-offensive de la liberté
7 ’entraide ; de changer d’habitation, de condition sociale , de profession ; droit d’exprimer toutes les sagesses et toutes les f
8 er à l’homme purement privé et à l’homme purement social , qui ne sont que des « mutilés », des hommes partiels qui n’ont pas e
9 uissants (politiques, scientifiques, économiques, sociaux ) au service de la vocation commune à tous nos peuples, le monde entie