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a nature l’a placé pour le développement moral et
social
de ses habitants… Car même dans les régions montagneuses, leur intell
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ployer les plus barbares aux habitudes de la vie
sociale
. Mais dans le reste de la partie habitable, là où le sol de l’Europe
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elles. Elles concernaient tout homme et tout état
social
. Elles vont devenir, d’une manière avouée, particulières, nationales,
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dant, l’empereur est la cause première de l’ordre
social
, et nul baron ne commande sans tenir de lui son pouvoir. Il est le pr
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ire se produit-il, non seulement la fin de la vie
sociale
est perdue, mais la cité elle-même disparaît. Enfin dans un royaume,
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bler toutes ses idées de politique et de réformes
sociales
. C’est un traité adressé à Édouard Ier, sur les moyens de recouvrer l
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tions politiques, ecclésiastiques, économiques et
sociales
, — nous dirions la culture, en un mot. « Personne ne connaissait l’Eu
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indépendant des hommes antérieur aux obligations
sociales
, se mettaient d’accord, par la même raison qui incline les hommes à l
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ar la même raison qui incline les hommes à la vie
sociale
, savoir l’amour de la paix et de l’ordre, pour se rencontrer, par leu
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d’en exposer le système dans une suite au Contrat
social
qui a été perdue ou détruite, si elle a jamais été écrite, ce qui n’e
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ue, ces patriotes demandent à l’auteur du Contrat
social
d’élaborer le plan d’une constitution moins bizarre et anarchique que
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ment les moyens qu’il préconisait dans le Contrat
social
pour lier ensemble les seuls États qu’il tolère en fin de compte : le
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que l’Europe ancienne », 1768. 132. Cf. Contrat
social
, Livre III, chap. XV, note in fine (1762). On sait que le Contrat n’e
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sprit humain. Il fut le précurseur des assurances
sociales
« par le calcul des probabilités de la vie », et le précurseur de la
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ion même, ou aux imperfections actuelles de l’art
social
? doit-elle continuellement s’affaiblir pour faire place à cette égal
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ace à cette égalité de fait, dernier but de l’art
social
, qui, diminuant même les effets de la différence naturelle des facult
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is pactes ou codes réglant les relations morales,
sociales
et militaires entre les nations. Le plan de Bentham ne fut publié qu’
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nations qui avaient atteint le même niveau de vie
sociale
, qui avaient dans l’ensemble le même caractère dû à la souche unique
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traités et des congrès, c’est vouloir qu’un corps
social
subsiste par des conventions et des accords : des deux côtés il faut
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trop éloignés de la saine nature et nos relations
sociales
manquent de charité et de bienveillance. Chacun est distingué et poli
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on « analyse scientifique » sur une seule « série
sociale
», la plus achevée que l’on puisse trouver : l’Europe. Il se propose
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u’au moment où, les lois principales du mouvement
social
ayant été ainsi appréciées dans le cas le plus favorable à leur plein
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aujourd’hui à entraver l’étude de notre évolution
sociale
par le vicieux mélange de l’histoire des populations qui, telles que
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spéciale de l’agent et du théâtre de l’évolution
sociale
la plus complète », à l’Europe. Et il exposera dans les volumes qui s
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le privilège effectif du principal développement
social
», tandis que « l’Europe a été le lien essentiel de cette civilisatio
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e… Nous avons donné au monde européen, politique,
social
, religieux, une secousse telle, qu’il n’y a pas un empire qui n’en ai
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généreuse France éclate dans tous les phénomènes
sociaux
de ce temps ; les autres peuples lui font ses malheurs, elle leur fai
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t de l’individu, base et point de départ du droit
social
, droit du travail, droit de la femme, droit de l’enfant, abolition de
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du Progrès, ni de la Science, ni de la Démocratie
sociale
, ni du mouvement de l’Histoire, et encore moins de la Liberté, mais p
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as la vérité. La vérité est que toutes les forces
sociales
concentrées et portées à leur plus haut degré de puissance, ont suffi
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violables pour toute solution absolue du problème
social
, et que toutes les fois qu’un de ces éléments est sacrifié aux deux a
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oir résoudre le problème politique, économique et
social
en son sein et par ses seules forces, dans l’oubli de cette grande vé
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sse de l’humanité, du christianisme et de l’ordre
social
. Ce privilège exorbitant, existe-t-il en fait, est-il fondé en droit
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l capable de résoudre les problèmes spirituels et
sociaux
de l’Occident. Le tsar l’ayant fait déclarer fou, il publie L’Apologi
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été ; elles sont des éléments intégrants du monde
social
de ces pays. C’est l’atmosphère de l’Occident ; c’est plus que de l’h
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opéenne, messianisme russe à la fois religieux et
social
), paraissent plus décisives que les points de désaccord (appréciation
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e, insistance sur la religion et ses conséquences
sociales
, ou au contraire sur un socialisme fortement marqué par le dogmatisme
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, « le peuple russe est en premier lieu le peuple
social
, celui qui veut réaliser l’ordre social et économique ici-bas ». Dans
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le peuple social, celui qui veut réaliser l’ordre
social
et économique ici-bas ». Dans les deux cas, il y a mission et messian
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erdu la vraie religion ou qui manque du vrai sens
social
. En fin de compte, le débat Russie-Europe ne se ramène-t-il pas au dé
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le condamner dans son ensemble et dans sa réalité
sociale
et culturelle. Tout est contradictoire en Nietzsche, y compris sa pas
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r l’Église catholique, rassemblant les traditions
sociales
de l’empire gréco-romain, et animant l’ensemble de ce grand corps d’u
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jeunesse française, de conceptions politiques et
sociales
fondées sur la valeur de la personne humaine. L’Europe, cependant, es
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isent les hommes d’aujourd’hui, leur comportement
social
, la façon mécanique dont ils s’acquittent de leurs tâches professionn
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premiers conciles : L’organisation politique et
sociale
(des Germains) les opposait à la centralisation bureaucratique des Ro
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uence que, bien des siècles plus tard, le Contrat
social
ou le Capital, on lit un passage où l’Église, durant son pèlerinage s
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t la conception chrétienne de la vie politique et
sociale
, l’ordre qui assure à tous la tranquillité de la paix. Avec cette de
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civilisation de cette période comme l’expression
sociale
de l’idéal chrétien… Au dernier siècle et au début du présent, ils on
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on moderne, si nous tenons à découvrir les forces
sociales
et spirituelles qui ont abouti à faire l’Europe.292 Dawson mettait
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’est pas seulement une revendication politique et
sociale
. Pour Salvador de Madariaga, grand libéral lui aussi, elle est « l’es
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à la liberté des conditions extérieures. Liberté
sociale
, liberté religieuse, liberté de la personnalité se conditionnent l’un
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reposant sur l’ordre du monde, modèle de l’ordre
social
, offrit pendant des siècles l’image d’un semblable immobilisme. Il y
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n plus riche en liberté spirituelle, politique et
sociale
. C’est notre continent qui a fait germer partout sur terre la volonté
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aquelle la brutalité d’un mécanisme économique et
social
a fait sombrer sa liberté de disposer de lui-même. C’est en Europe qu
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tenir pour une loi fatale la stabilité de l’ordre
social
, et c’est ici qu’à chaque époque, le tiers État de l’époque a élevé l
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Et cependant cela a été imité par d’autres corps
sociaux
, qui s’en sont emparés et en ont fait leur bien propre. La vérité est
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chnique, la science, le bien-être, l’organisation
sociale
, un répertoire et un réajustement des gains s’impose, centrés autour
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puissance, est périmé. Mais surtout les conquêtes
sociales
des dernières décennies minent notre puissance matérielle. Dans ces c
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tion nationaliste antioccidentale que réclamation
sociale
ou programme d’industrialisation. Dans cette atmosphère nouvelle, l’a
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s à fond dans une révolution à la fois technique,
sociale
et politique. Leurs conceptions totalitaires ne se contentent pas de
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les surtout, a modifié l’environnement naturel et
social
de l’homo sapiens d’une manière si radicale qu’on dirait qu’une espèc
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ssi qu’au point de vue politique, au point de vue
social
, le lien fédéral, sans toucher à la souveraineté d’aucune des nations
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l, sources d’instabilité politique aussi bien que
sociale
. Or, le danger d’un tel morcellement se trouve encore accru du fait d
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e respect de la personne, la sécurité, la justice
sociale
, l’utilisation intégrale des ressources économiques en faveur de la c
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commun et de favoriser leur progrès économique et
social
. (b) Ce but sera poursuivi au moyen des organes du Conseil, par l’exa
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’une action commune dans les domaines économique,
social
, culturel, scientifique, juridique et administratif, ainsi que par la
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r par une action commune le progrès économique et
social
de leur pays en éliminant les barrières qui divisent l’Europe… Soucie