1 rer de la doctrine ses conséquences politiques et sociales , et c’est ainsi que l’on aboutissait à un programme communautaire, fé

2 lture avec les instances politiques, économiques, sociales , juridiques. De plusieurs côtés, on a émis l’idée d’une sorte de Comi

3 nements et aux politiciens comme aux législateurs sociaux et aux experts, qu’un certain nombre de principes moraux ne sauraient

4 ant plutôt l’ensemble ou le système des résultats sociaux , à la fois matériels et moraux, produits par cette activité. Quoi qu’

5 ples. En effet, leur niveau de vie et leur statut social dépendent de leur économie ; celle-ci dépend de la technique et donc

6 es problèmes de création, distribution, finalités sociales … Post-scriptum 1970 En 1970, faut-il encore un Centre ? Après vi

7 idéaux modernes de progrès matériel et de justice sociale émigrés, laissant derrière eux, l’un la résignation et l’autre le cyn

8 volonté de personne ni plan prémédité, les cadres sociaux et les groupes naturels, créant ainsi les « masses », c’est-à-dire de

9 écessité organique et sans structure : l’entropie sociale a vertigineusement augmenté depuis un siècle. Et enfin, chacun voit q

10 s en général (sans lesquelles il n’y a pas de vie sociale possible) ; soit qu’elle s’efforce de restaurer des orthodoxies rigid

11 er encore plus de l’action politique et de la vie sociale ou économique, lesquelles suivent leurs lois propres, de moins en moi

12 nt de réactions mécaniques et collectives au vide social créé par la dissolution de toute commune mesure vivante, de tout prin

13 omprendre. Les cadres et les structures de sa vie sociale sont en bonne partie détruits. Autrefois, le fils d’un drapier devena

14 ne discipline d’action et de pensée, si l’élément social n’était venu se conjuguer avec lui, après la Première Guerre. Ce que

15 l’Europe, religieuses d’abord, puis nationales et sociales , enfin économiques et parfois politiques. Le mal fondamental de l’Eur

16 es de Cézanne, pommes de pure forme, sans contenu social . De ce péché originel naquit le formalisme occidental, qui devait con

17 sclave de sa voiture, il est esclave de sa vanité sociale . Quelle est la responsabilité de l’artiste dans un monde en transform

18 nt de loisirs, et la vie politique, économique et sociale , qu’ils considèrent comme le solide et le sérieux de l’existence. Ce

19 lquer à l’élève les lois et conventions de la vie sociale et communautaire, d’autre part, préparer l’élève à agir librement, se

20 ontexte historique, à quelles fins religieuses et sociales , dans quel esprit. Il doit donc tout d’abord apprendre à voir, à lire

21 ilibres vivants entre l’homme et son milieu (tant social et urbain que rural), est le plus grand problème politique de ce sièc

22 re de choisir les priorités et les buts de la vie sociale et personnelle. Or choisir est l’acte politique par excellence : gouv

23 tivité, mais pour assurer de meilleurs équilibres sociaux et naturels. 4. Si l’écologie est liée au civisme, est-elle liée à l’

24 qui pèsent sur le milieu humain (psychologique et social , autant que physique), en leur montrant que ces problèmes exigent des

25 ville de moyenne grandeur et de vie culturelle et sociale animée, une ou deux-centaines de maisons familiales dispersées, et un

26 les plus variés de la vie publique, économique et sociale , d’autre part. Condition générale d’admission : avoir prouvé son exce

27 eur jurisprudence, l’unification de leurs mesures sociales et la coordination de leurs politiques économiques. Ce qui nous manqu

28 leur condition présente, leurs données natives ou sociales . Je pense que l’horizon lointain de la recherche humaine, dans tous l

29 iendra se substituer aux problèmes économiques et sociaux d’aujourd’hui, portant alors au premier plan, les grandes questions d

30 qu’il confondait, je le crains, avec les réformes sociales . En sortant de chez lui, les mains vides, je me dis ceci : cet homme

31 croyances autant que nos instincts, les interdits sociaux et religieux autant que les désirs secrets de l’individu et les possi

32 ressément de l’élément touristique et des aspects sociaux du phénomène festival considéré dans sa totalité et dans ses conditio

33 ermettant de mesurer l’ampleur de cette évolution sociale . 4. Au xixe siècle et aux débuts de ce siècle, la musique était conf

34 des fonctions religieuses et de tout le contexte social en vue desquels elle avait été composée. C’est grâce aux festivals qu

35 radation des valeurs indigènes, des déséquilibres sociaux ou psychologiques, suivis de prises de positions agressives et fermée

36 nos régions sur le plan politique, économique et social . La méconnaissance de ces réalités « culturelles »est ce qui empêche

37 développement industriel et éducatif, d’inégalité sociale , et contrairement à l’Europe, elle regorge de richesses potentielles

38 elever politiquement de la Suisse, mais au niveau social , ou culturel, ou économique, d’un système défini par plusieurs pôles 

39 ormules variées et non superposables — ethniques, sociales , économiques, écologiques, culturelles — est par définition interdisc

40 ni les langues, ni les traditions religieuses et sociales , ne sont séparées par les fleuves ou les crêtes des chaînes montagneu

41 r, séparer ou rapprocher à volonté. Nul événement social ou politique n’existe en soi sans qu’on l’ait exprimé, nommé, écrit,