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e. Déséquilibres démographiques ; désintégration
sociale
et culturelle ; pénuries et famines ; monopoles étrangers conduisant
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être qu’un forum d’échanges d’idées politiques ou
sociales
, rôle qu’il n’a cessé de tenir avec distinction mais sans le moindre
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la CEE des « compétences élargies », politiques,
sociales
, culturelles. C’est oublier que la CEE se trouverait ainsi tentée, vo
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systèmes d’industrialisation dans les structures
sociales
du tiers-monde non préparées à les recevoir, a détruit encore plus qu
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sont débordés ; hôpitaux, universités, assurances
sociales
, se trouvent en crise permanente : sous-financés, suroccupés et solli
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ielle. d) Loin de s’atténuer, les discriminations
sociales
s’accentuent, et les réactions de rejet à l’égard des groupes margina
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ividu ne se sent plus participant d’une structure
sociale
protectrice, comme l’était la famille, mais se voit livré sans défens
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de loisir se trouve envahi par d’autres pressions
sociales
(TV, publicité) qui le poussent vers toujours plus de consommation, d
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voquent nécessairement la détérioration du climat
social
. On assiste dans la plupart de nos pays — surtout les grands — à une
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humain. Dans les pays industrialisés, la pression
sociale
de plus en plus forte et impatiente a modifié substantiellement la di
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n par l’individu de l’état du système économique,
social
et politique dans lequel il vit. Or, cette perception porte d’abord s
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misation de la production, quel qu’en fût le prix
social
, appelait la concentration des efforts, le centralisme. Elle appelait
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serait intégré aux autres activités économiques,
sociales
et culturelles de nos régions. Et ce projet, étendu sur le plan de la
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ividu ne se sent plus sécurisé par des structures
sociales
accoutumées et stables. Sans aucune assurance pour son emploi demain,
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et de frustration qui caractérisent notre climat
social
, et qui révèlent la désastreuse décadence des réalités communautaires
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les agences pour le chômage et les autres secours
sociaux
, pourraient être accomplies par 15 % des forces de travail aujourd’hu
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aptée aux conditions spécifiques — écologiques et
sociales
— des régions de l’Europe ; plus diversifiée ; moins importatrice d’é
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x dépens des systèmes et des régimes de relations
sociales
, psychologiques et culturelles d’une population donnée, en Europe com
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ais aussi aux limites que lui posent les réalités
sociales
et naturelles qu’elle avait cru pouvoir éliminer de ses comptes. Il e
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e les critères ultimes de toute action politique,
sociale
ou militaire. Si les Européens n’arrivent pas très vite à comprendre
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ristiques culturelles, juridiques, économiques et
sociales
, à mesure que la centralisation se fait plus impérieuse dans tous ces
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tout ordre (économiques autant que culturelles et
sociales
) dont ils se disent victimes et qu’exercerait à son profit l’ethnie d
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qui crée les crises de tous ordres, économiques,
sociales
, scolaires, politiques, et les violences qui en résultent. Le chaos l
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et culturels qui assuraient bon an mal an la vie
sociale
dans ces pays. Un chiffre, un seul, en dira long sur la dégradation m
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tent tous les notions de productivité sans freins
sociaux
ni culturels ; de rentabilité qui stupidement ignore les coûts humain
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abilité qui stupidement ignore les coûts humains,
sociaux
et naturels ; de potentiel de défense qui ne veut compter qu’en mégat
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gigantesques. Ils veulent donc de petites unités
sociales
, économiques, civiques. Ils veulent des régions, non des Nations. Des
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idée !), s’il n’existait pas d’exemple d’un ordre
social
solidaire, coopératif et libertaire réalisé quelque part sur la terre
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i l’on prenait en compte ses coûts et contrecoups
sociaux
, médico-psychologiques, belligènes, environnementaux, polluants, dése
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tie le « miracle » de la restauration économique,
sociale
et politique de la RFA. L’Italie s’est dotée, en 1948, après la chute