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t, — et même toutes les révolutions : politiques,
sociales
, scientifiques, esthétiques ou morales —, et le re-tournement de l’ho
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vil, mais des communautés définies par leurs buts
sociaux
, culturels, ou spirituels, donc des communautés que j’appelle électiv
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fester cette liberté. Il le fera dans les groupes
sociaux
électifs, c’est-à-dire dans les groupes de communautés auxquels il po
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ncipe, débordent très largement la petite cellule
sociale
qu’est l’unité d’habitation ou la cité-satellite. Ces groupes sociaux
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té d’habitation ou la cité-satellite. Ces groupes
sociaux
électifs sont donc définis par des idées, des préoccupations et des b
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omisé, cette faiblesse intime du citoyen, ce vide
social
, comme je l’appelle, sera à la fois la cause et le résultat des grand
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sont rien d’autre que la rationalisation du chaos
social
, du taudis, et qui ne sont pas vraiment de nouvelles communes ajoutée
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26 novembre 1965 Toutes les tensions dans la vie
sociale
et civique européenne se manifestaient autour de la place et des bâti
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oncrètes de l’homme, qui déterminent les rapports
sociaux
. Et certes, il exagère au-delà de toute raison l’importance des aspec
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va du sacré au profane, du collectif religieux et
social
à l’individualisme, de l’autorité indiscutée à la liberté toujours av
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n veut rendre l’élève absolument conforme au type
social
en vigueur, et par la seconde, on veut essayer de l’en libérer. Dans
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amais vu que des paraboles de succès politique et
social
. 8. Les antinomies constitutives de la culture européenne 16 ja
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loi, c’est-à-dire croyance intime à règle sacrée,
sociale
. 24 avril 1970 Je pense qu’il est possible d’unir nos pays pour cette
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ensibilités et nos jugements moraux, nos réflexes
sociaux
et nos besoins économiques. Tout cela nous incite aussi à remettre en
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e Descartes va pouvoir développer tous ses effets
sociaux
, politiques et scientifiques. À partir de ce moment-là va se développ
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ombinaison relativement moderne de deux réalités,
sociale
et politique, beaucoup plus anciennes, d’origines complètement différ
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eu près équilibrés d’un côté, pauvres et en crise
sociale
de l’autre côté ? Ne convient-il donc pas d’opposer plutôt deux types
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l’État-nation grâce à leur position économique et
sociale
favorable ? 4. La souveraineté 25 octobre 1968 La souveraineté
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ions, ni politiques, ni économiques, encore moins
sociales
de la fin du xxe siècle. Mais qu’elle est encore assez solide pour r
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milieu du Moyen Âge — toute une série de réalités
sociales
que nous connaissons bien aujourd’hui ; les unes étaient les communes
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de classe, des traditions religieuses dans la vie
sociale
, la démocratisation et l’étatisation du pouvoir, l’individu moderne,
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eurs, les coutumes, l’appartenance à telle couche
sociale
— l’homme se trouve désormais en mesure, et donc en position, de choi
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s. 5 novembre 1971 La formule de toute hypocrisie
sociale
, c’est la négation, le refoulement des finalités réelles, et l’alléga
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e, j’entends les moyens de prévenir les désastres
sociaux
, biologiques et physiques qu’annonce la prospective, en sauvant du mê
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ponsable d’une cité neuve et d’un nouveau contrat
social
? Au spécialiste « isolé » (comme un fil électrique) qui fait son « j
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réintégré dans la communauté, relié à l’ensemble
social
par le souci des fins dernières de la cité et de la personne dans la
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onheur, en santé, en qualité de vie et en justice
sociale
ou communautaire. 29 octobre 1971 L’écart entre le tiers-monde et l’O
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t largement déterminé par le poids des traditions
sociales
, des préceptes religieux et moraux, par l’appartenance à une corporat
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. Ce que Denis de Rougemont appelle “l’hypocrisie
sociale
”, c’est la tendance à affirmer des buts démentis par les actes. Ainsi
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x économique, industriel, énergétique, militaire,
social
, culturel, que politique. Par exemple, sert-on une croissance uniquem
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ns retrouver désormais tout au long de l’histoire
sociale
et politique de l’Occident. Ainsi, ces grandes catégories sont défini
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ophie scolastique, elles vont pénétrer les formes
sociales
, le rapport social entre les hommes. 11 février 1966 Dans ce que l’on
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les vont pénétrer les formes sociales, le rapport
social
entre les hommes. 11 février 1966 Dans ce que l’on appelle l’ère mode
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ar les cadres administratifs ou par les fonctions
sociales
, mais par une réalité d’ordre religieux qui est la personne, la nouve
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t trouver de multiples prolongements dans l’ordre
social
: ils auront des conséquences cruciales sur les conduites quotidienne
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ent surtout ce que j’appelle un sentiment de vide
social
. L’individu qui est trop loin du pouvoir est devenu passif, il n’a pl
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ecque d’individu a correspondu chez eux la notion
sociale
de polis, de cité, a correspondu aussi une notion du civisme, de la v
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a notion de citoyen, d’homme défini par ses liens
sociaux
, et la notion qui lui a correspondu était le règne de la loi réglant
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ie personnelle, ou familiale, protégée, et la vie
sociale
possible, la justice assurée ; ou encore, l’agrandissement inévitable
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e dynamisé, par sa mise en tension avec le milieu
social
; et c’est sur le fond de ce milieu social que son originalité va se
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milieu social ; et c’est sur le fond de ce milieu
social
que son originalité va se manifester. Prenons le cas du langage, il n
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e possible intact. C’est ainsi que chaque élément
social
entrant en composition fédérale est amené à renforcer ses caractères
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e de la notion de citoyen réduite à celle de rôle
social
que l’on valorise à l’extrême, aux dépens de la liberté individuelle
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convive. C’est en tant qu’il vit dans une cellule
sociale
, qu’il dépasse le niveau de l’individu isolé, qu’il devient réellemen
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ieu de l’Église qui reprend toutes les structures
sociales
et administratives de l’Empire romain, se reforment, au Moyen Âge, le
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’individualisme atomisé (on renie ses engagements
sociaux
), d’autre part vers l’engagement total (on fuit devant sa vocation, o
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roduit la notion de citoyen défini par son statut
social
, le christianisme (à travers notamment les débats des grands conciles
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e, de formes de pensée, de structures mentales et
sociales
, qui se trouvent être à la fois les conditions de réalisation et les
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es d’une part, aptes à permettre et animer la vie
sociale
et culturelle, donc la participation civique d’autre part ? Les régio
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éalité multifonctionnelle — à la fois économique,
sociale
, culturelle, linguistique, ethnique, religieuse, politique —, ces div
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, de ses Églises, de ses théologies, de sa morale
sociale
. La révolution est la transposition au plan social de la conversion i
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ciale. La révolution est la transposition au plan
social
de la conversion individuelle. Elle gardera de cette origine le carac
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de chaque sujet du royaume, non seulement la vie
sociale
, mais la vie privée et la conscience (comme le démontrent la révocati
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ellement par une remise en question des finalités
sociales
et de l’ordre social. Pour Denis de Rougemont et les personnalistes d
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en question des finalités sociales et de l’ordre
social
. Pour Denis de Rougemont et les personnalistes des années 1930, c’est