1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 fédéraliste4, tandis que le parti radical et les socialistes insistaient sur la nécessité d’étatiser et d’uniformiser davantage l’
2 rsécutés de tous les belligérants : pacifistes et socialistes , Romain Rolland et Lénine. Mais surtout, elle se transforma en une va
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
3 e soient guère plus nombreux aux chambres que les socialistes , lesquels n’ont obtenu qu’un seul siège à l’exécutif, et seulement de
4 bres durant près d’un siècle, de 1848 à 1943. Les socialistes les ont supplantés pendant une législature, mais l’issue de la lutte
5 ées neuves et parfois révolutionnaires. La gauche socialiste professe un marxisme très modéré. Elle a renoncé à l’antimilitarisme,
6 s membres des coopératives se rattachent au parti socialiste . Enfin, le parti du travail (communiste) dissous par le gouvernement
7 aboutissait pas, éventuellement, à rapprocher les socialistes des bourgeois. On le voit, le tableau des partis en Suisse ne présent
3 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
8 é des membres appartiennent par ailleurs au parti socialiste , réputé centralisateur, se révèlent réfractaires à toute unification
9 entralistes. Cependant, l’on ne trouvera guère de socialistes qui ne soient en même temps fédéralistes dans une certaine mesure, ou
4 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
10 frappant de constater que les cantons à majorité socialiste ne se montrent pas plus « progressistes » que les autres à cet égard.