1 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
1 s qu’il peut faire aujourd’hui, dans un ordre non socialiste . Par où l’on voit qu’en dépit du langage, la transcendance de la foi
2 ons de l’être, celles-là précisément que l’avenir socialiste , la société sans classes, doit supprimer ! Le marxiste croit que le b
3 o (Union pour la Vérité, 22 mars 1930). À quoi un socialiste allemand, le professeur Hans Mühlestein, rétorquait : « Toutes les ré
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
4 chies sociales — mais il s’y introduit un contenu socialiste . (Là encore avec moins de secousses en Scandinavie qu’en Angleterre.)
5 au cours des deux dernières décades. (Les partis socialistes subsistant dans les pays où les Soviets ne règnent pas, sont en voie
6 nvergence, sur le plan international. On a vu les socialistes anglais collaborer avec les conservateurs anglais, non pas avec les s
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
7 ement en Bavière, que Mussolini a opposé une Rome socialiste à la papale, que Franco et Salazar ont exploité des situations typiqu
8 nfluences chrétiennes. Au Japon, l’essor du parti socialiste doit beaucoup à l’évangéliste Kagawa. En Afrique, ce sont des leaders