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est notre affaire , parce que “la décadence d’une
société
commence quand l’homme se demande : ‘Que puis-je faire ?’”. Envers et
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elle qu’elle doit être lue : « La décadence d’une
société
commence quand l’homme se demande : « Que va-t-il arriver ? » au lieu
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la peur d’être libre »… C’est la maladie de notre
société
actuelle. C’est de cette peur que sont nés les États-nations et les É
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l’âme humaine depuis la formation de la première
société
. Hitler n’a fait que lui prêter figure et nom, à l’occasion de son ér
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i Hitler, ayant posé le diagnostic exact de notre
société
occidentale, avait aussitôt abusé de l’élan de confiance déclenché da
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ois. Dans les ruines matérielles et morales d’une
société
qui avait généralement perdu la Foi, l’Espérance et l’Amour, il a fon
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s, comme Rousseau, que l’homme naît bon et que la
société
le rend mauvais ? L’homme naît orienté par ses gènes et par son milie
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naît orienté par ses gènes et par son milieu. La
société
est le résultat global des réussites et des échecs de ses efforts pou
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« plutôt la fin de l’Humanité que la ruine de ma
société
» ? Ou simplement : « plutôt morts que chômeurs » ? Cet « impossible
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ctable, et qui tendent à composer deux modèles de
société
théoriquement contradictoires et de moins en moins compatibles dans l
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chain. Ce qu’il faut voir, c’est que le but de la
société
n’est pas du tout d’assurer à quelques-uns la rentabilité de leur ent
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lorsqu’il s’agit d’appliquer ces principes à nos
sociétés
telles qu’elles sont devenues : démesurées en fait, qu’on le veuille
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areil.) De plus, je fais partie d’une quantité de
sociétés
, qui m’engagent plus ou moins et dont les buts sont très différents,
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c’est très facile. Je sais parfaitement à quelles
sociétés
je cotise, lesquelles je préside peut-être, ou celles dont je vais dé
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mplications logiques de la « petite échelle » des
sociétés
Il pose au départ que les grands systèmes permettent seuls le haut
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uvement. Quant à « exclure » la possibilité d’une
société
qui puisse jouir en même temps des avantages de la grande et de la pe
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nécessité absolue, sans laquelle il n’y a aucune
société
possible. On ne va pas demander à chacun s’il a besoin de participer.
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as de participation des citoyens, il n’y a pas de
société
, en tout cas pas démocratique. VII. Du choix électronucléaire «
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andestines qui vont déterminer l’évolution de nos
sociétés
occidentales, dans la mesure précise où elles tentent d’organiser les
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238 de mon édition française. y. « Informatique,
société
, sagesse », Informatique et société, Genève, Université de Genève, 19
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Informatique, société, sagesse », Informatique et
société
, Genève, Université de Genève, 1984, p. 13-26.
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les qu’elle est en train de créer dans toutes les
sociétés
qu’elle touche. Nous avons fait beaucoup pour nous connaître mieux, n
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avant la lettre : Paracelse. Théorie générale des
sociétés
humaines, dont le Contrat social n’est qu’un fragment : Rousseau. Vue
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ertain groupement d’humains que nous appelons une
société
. » 15. La Confédération helvétique , Éditions du Rocher, Monaco, 1
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devait servir de mesure à notre conception de la
société
. À cette tentative globale de situer notre projet existentiel — comme
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scernables et, en fait, complices, mais entre une
société
fondée sur la personne, sur ses libertés — garanties par ses seules r
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que nous n’avons pas fini de nous battre pour une
société
des personnes libres et responsables. Nous avons à peine commencé.
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seulement dans mes relations avec autrui, avec la
société
, avec le monde ; et troisième temps, l’acceptation critique du « para
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par le biais d’une révolution personnaliste. Les
sociétés
individualistes devaient, pour survivre, retrouver le sens de la comm
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né à condamner ; j’ai proposé les principes d’une
société
personnaliste à créer. Quant à mes « condamnations », elles portaient
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jusqu’à l’atelier. Nous voulions recréer dans la
société
actuelle des cellules aussi petites que possible où le civisme puisse
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able ; c’est d’après cela qu’on doit organiser la
société
. D’où votre haine du gigantisme et de l’étatisme ? Cela c’est très im
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e une fonction nécessaire à tous les étages de la
société
. Ainsi, l’État existe déjà dans le couple — c’est une théorie qui m’e
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totalitaire, considéré comme valeur suprême de la
société
. C’était à ses yeux l’achèvement suprême de l’Histoire. L’homme était
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ision, comme l’atome, ce que Marx avait appelé la
société
atomisée, mais le sujet responsable de son rôle dans la communauté. V
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r cette vocation même est mis en relation avec la
société
, créateur de la relation sociale. Là, pourtant, il y a une petite dif
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ma vie privée, mais décris mes relations avec la
société
, la politique, l’action dans la communauté… Tout de suite après, je m
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l’idée, dérivée de Proudhon cette fois-ci, d’une
société
fondée sur les communes, s’associant en régions pour les tâches qui d
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tient donc à l’Europe de proposer le modèle d’une
société
respectueuse des valeurs culturelles ; et d’abord, plus spécifiquemen
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lorsqu’il s’agit d’appliquer ces principes à nos
sociétés
telles qu’elles sont devenues : démesurées en fait, qu’on le veuille
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croissance continue des forces productives de la
société
soviétique » et par « la liquidation du chômage ») ; — droit au repos
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opératives, aux organisations de la jeunesse, aux
sociétés
culturelles ». Ce qui revient en fait (voir supra, art. 126) à subord
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communiste est la force qui dirige et oriente la
société
soviétique, c’est l’élément central de son système politique ». Certe
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és ne doit pas porter atteinte aux intérêts de la
société
et de l’État ». Or le fait que le PC jugera toujours en dernier resso
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ctivité. Je l’ai souvent dit : la décadence d’une
société
commence quand l’homme se demande ce qui va arriver. Formulons nos fi