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st par eux qu’il peut être humanisé. Le but de la
société
, c’est la personne. On n’y atteindra jamais que par une politique éta
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idée même de culture, sur le divorce entre art et
société
, sur l’impuissance de la révolte en soi et la mise au pas de l’artist
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sponsabilités ; c’est agir en homme libre dans la
société
, cesser de dire qu’on n’y peut rien. Le civisme est le fait de la per
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ontre la Nature et l’agression étatique contre la
société
coutumière. C’est le moment où s’instituent dans nos pays les écoles
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de droite, l’écologie est un complot contre « la
société
existante », aux yeux des politiciens de gauche, sa fin principale pa
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nt lui conserver l’empire de la pensée.47 Cette
société
des hommes de la pensée, qu’elle ait pour champ la philosophie ou les
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ue toujours la fixation à un certain niveau d’une
société
réelle entrée dans un déclin qui doit finir en chute, à moins que le
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es, car elles ne sont conçues dans une quelconque
société
que lorsque celle-ci a perdu toute espérance de progrès futur. » Tout
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est solidaire de la vie sociale tout entière : la
société
humaine est une société d’éducation, idée qui ne trouvera son express
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sociale tout entière : la société humaine est une
société
d’éducation, idée qui ne trouvera son expression positive qu’au cours
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cause dans le relâchement des liens actuels de la
société
, dans leur quasi-inexistence, en raison du développement de l’individ
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taire ou fédéraliste — sera « le rempart de notre
société
» (S. Veil) ou « la condition d’une société plus juste » (tous les ch
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notre société » (S. Veil) ou « la condition d’une
société
plus juste » (tous les chefs socialistes). C’est dans le débat des pa
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ésorber le chômage, mais aussi comme projet d’une
société
plus solidaire, y compris avec le tiers-monde. Les régions unies d’E
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mes et responsables, et que c’est dans ce type de
société
que se situe l’indispensable point d’équilibre entre la liberté et l’
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fense des ressources inépuisables. » Le modèle de
société
génialement bâclé par Bonaparte en vue de la guerre et de rien d’autr
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es y est plus mécanisée que dans n’importe quelle
société
humaine jusque-là. Tout y est militarisé, c’est-à-dire mobilisable à
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as sur ce plan psychologique épiméthéen que notre
société
peut lever les yeux dans l’espérance d’y découvrir quelque forme d’as
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tin, dites-vous, l’individu se dissolvait dans la
société
, alors que toute l’idée de grandeur exprimée dans l’idéologie, la lit
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c vigilance la primauté des fins que se donne une
société
, et la conformité de ces fins proclamée avec des moyens politiques et
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ipation ». Ils affirment que « la finalité de nos
sociétés
est de permettre à chacun de s’épanouir dans la liberté et l’attachem
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cteur essentiel d’un développement harmonieux des
sociétés
avec les facteurs sociaux, économiques et technologiques ». Tout cela
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yrannie moderne qui consiste dans le fait que nos
sociétés
sont dirigées par l’État, c’est-à-dire par des corps de fonctionnaire
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epose toute la critique que nous avons fait de la
société
actuelle. Elle a porté des fruits dans pas mal de domaines de la poli
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a masse. Mais quel est le rapport de l’homme à la
société
, à quels dangers est-il exposé ? Notre mouvement, qui s’appelait « m
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a porté toute sa réflexion sur l’homme, but de la
société
, et non pas l’inverse, comme on a l’air de le croire dans les société
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l’inverse, comme on a l’air de le croire dans les
sociétés
totalitaires, où l’on pense que la société est le but de l’homme. Nou
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s les sociétés totalitaires, où l’on pense que la
société
est le but de l’homme. Nous avons toujours pensé que la société est a
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but de l’homme. Nous avons toujours pensé que la
société
est au service de l’homme, doit l’être. Or c’est exactement le contra
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ersonne. Donc, et là je me répète, il faut que la
société
soit faite pour l’homme, et non le contraire. Les deux grandes finali
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finalités que l’on doit rechercher en faisant une
société
, ce n’est pas la puissance, mais c’est la liberté et la responsabilit
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Je voudrais donc qu’on rétablisse comme but de la
société
(cela a l’air grandiloquent de le dire), comme finalité suprême à tou
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quent de le dire), comme finalité suprême à toute
société
et à toute vie humaine, en même temps ces trois choses : la liberté,
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a paru en 1939, quelques mois avant la guerre. La
société
d’aujourd’hui n’est pas à tort nommée « société de masse » : l’indivi
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a société d’aujourd’hui n’est pas à tort nommée «
société
de masse » : l’individu s’y dilue, il est difficile d’en comprendre l
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e avec l’obsession de créer un milieu social, une
société
où l’homme puisse être libre et responsable et pratiquer l’amour d’un
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leurs activités. C’est une des folies pures de la
société
contemporaine : on veut tout appliquer, tout de suite, uniquement par
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doute pas qu’on est en train de détruire ainsi la
société
. Alors il y a là une tâche immense pour la culture, que nous pourrion
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en même temps, simultanément, les personnes et la
société
. C’est nous qui devons faire ce premier choix : voulons-nous à tout p