1 1978, Cadmos, articles (1978–1986). Contribution à une recherche éventuelle sur les sources de la notion d’engagement de l’écrivain (printemps 1978)
1 st par eux qu’il peut être humanisé. Le but de la société , c’est la personne. On n’y atteindra jamais que par une politique éta
2 1978, Cadmos, articles (1978–1986). L’Intellectuel contre l’Europe (été 1978)
2 idée même de culture, sur le divorce entre art et société , sur l’impuissance de la révolte en soi et la mise au pas de l’artist
3 1978, Cadmos, articles (1978–1986). Conditions d’un renouveau (automne 1978)
3 sponsabilités ; c’est agir en homme libre dans la société , cesser de dire qu’on n’y peut rien. Le civisme est le fait de la per
4 1979, Cadmos, articles (1978–1986). Écologie, régions, Europe fédérée : même avenir (printemps 1979)
4 ontre la Nature et l’agression étatique contre la société coutumière. C’est le moment où s’instituent dans nos pays les écoles
5 de droite, l’écologie est un complot contre « la société existante », aux yeux des politiciens de gauche, sa fin principale pa
5 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Madame de Staël et « l’esprit européen » (été 1980)
6 nt lui conserver l’empire de la pensée.47 Cette société des hommes de la pensée, qu’elle ait pour champ la philosophie ou les
6 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Utopie, technique, État-nation (printemps 1980)
7 ue toujours la fixation à un certain niveau d’une société réelle entrée dans un déclin qui doit finir en chute, à moins que le
8 es, car elles ne sont conçues dans une quelconque société que lorsque celle-ci a perdu toute espérance de progrès futur. » Tout
7 1981, Cadmos, articles (1978–1986). L’apport culturel de l’Europe de l’Est (printemps 1981)
9 est solidaire de la vie sociale tout entière : la société humaine est une société d’éducation, idée qui ne trouvera son express
10 sociale tout entière : la société humaine est une société d’éducation, idée qui ne trouvera son expression positive qu’au cours
8 1981, Cadmos, articles (1978–1986). Un falsificateur vu de près (été 1981)
11 cause dans le relâchement des liens actuels de la société , dans leur quasi-inexistence, en raison du développement de l’individ
9 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Chronique européenne : La préparation des élections européennes (printemps 1984)
12 taire ou fédéraliste — sera « le rempart de notre société  » (S. Veil) ou « la condition d’une société plus juste » (tous les ch
13 notre société » (S. Veil) ou « la condition d’une société plus juste » (tous les chefs socialistes). C’est dans le débat des pa
14 ésorber le chômage, mais aussi comme projet d’une société plus solidaire, y compris avec le tiers-monde. Les régions unies d’E
15 mes et responsables, et que c’est dans ce type de société que se situe l’indispensable point d’équilibre entre la liberté et l’
10 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
16 fense des ressources inépuisables. » Le modèle de société génialement bâclé par Bonaparte en vue de la guerre et de rien d’autr
17 es y est plus mécanisée que dans n’importe quelle société humaine jusque-là. Tout y est militarisé, c’est-à-dire mobilisable à
18 as sur ce plan psychologique épiméthéen que notre société peut lever les yeux dans l’espérance d’y découvrir quelque forme d’as
11 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Conclusions (été-automne 1984)
19 tin, dites-vous, l’individu se dissolvait dans la société , alors que toute l’idée de grandeur exprimée dans l’idéologie, la lit
12 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
20 c vigilance la primauté des fins que se donne une société , et la conformité de ces fins proclamée avec des moyens politiques et
21 ipation ». Ils affirment que « la finalité de nos sociétés est de permettre à chacun de s’épanouir dans la liberté et l’attachem
22 cteur essentiel d’un développement harmonieux des sociétés avec les facteurs sociaux, économiques et technologiques ». Tout cela
13 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
23 yrannie moderne qui consiste dans le fait que nos sociétés sont dirigées par l’État, c’est-à-dire par des corps de fonctionnaire
24 epose toute la critique que nous avons fait de la société actuelle. Elle a porté des fruits dans pas mal de domaines de la poli
25 a masse. Mais quel est le rapport de l’homme à la société , à quels dangers est-il exposé ? Notre mouvement, qui s’appelait « m
26 a porté toute sa réflexion sur l’homme, but de la société , et non pas l’inverse, comme on a l’air de le croire dans les société
27 l’inverse, comme on a l’air de le croire dans les sociétés totalitaires, où l’on pense que la société est le but de l’homme. Nou
28 s les sociétés totalitaires, où l’on pense que la société est le but de l’homme. Nous avons toujours pensé que la société est a
29 but de l’homme. Nous avons toujours pensé que la société est au service de l’homme, doit l’être. Or c’est exactement le contra
30 ersonne. Donc, et là je me répète, il faut que la société soit faite pour l’homme, et non le contraire. Les deux grandes finali
31 finalités que l’on doit rechercher en faisant une société , ce n’est pas la puissance, mais c’est la liberté et la responsabilit
32 Je voudrais donc qu’on rétablisse comme but de la société (cela a l’air grandiloquent de le dire), comme finalité suprême à tou
33 quent de le dire), comme finalité suprême à toute société et à toute vie humaine, en même temps ces trois choses : la liberté,
34 a paru en 1939, quelques mois avant la guerre. La société d’aujourd’hui n’est pas à tort nommée « société de masse » : l’indivi
35 a société d’aujourd’hui n’est pas à tort nommée «  société de masse » : l’individu s’y dilue, il est difficile d’en comprendre l
36 e avec l’obsession de créer un milieu social, une société où l’homme puisse être libre et responsable et pratiquer l’amour d’un
37 leurs activités. C’est une des folies pures de la société contemporaine : on veut tout appliquer, tout de suite, uniquement par
38 doute pas qu’on est en train de détruire ainsi la société . Alors il y a là une tâche immense pour la culture, que nous pourrion
39 en même temps, simultanément, les personnes et la société . C’est nous qui devons faire ce premier choix : voulons-nous à tout p