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sition d’un acte indépendant des mécanismes de la
société
. Il nous faut faire un pas de plus. Il nous faut dire enfin que c’est
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ne sont pas les descriptions désenchantées d’une
société
en voie de dissolution atomique. Les civilisations conscientes de leu
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ques est toujours un assez mauvais signe dans une
société
décadente. Il est poussé à la manie par les suiveurs des maîtres d’ap
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t le terme dernier de la division objective d’une
société
au sens des sociologues. Il joue, sur le plan politique, le rôle que
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x autres ? La personne ne sera pas au terme d’une
société
parfaite, pour la simple raison qu’il n’y a de rapport humain réel qu
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ans une passion grave, exigeante, à l’écart d’une
société
hostile, dans une ascèse morale soutenue. L’aîné, c’est ce Rouveyre q
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et veille, et de ressusciter le type primitif des
sociétés
irrationnelles, « sous une forme supérieure ». Selon Tzara, ceci doit
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rieure ». Selon Tzara, ceci doit nous mener à une
société
collectiviste, marxiste. Je ne comprends pas cette déduction. La reve
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donc vain et dangereux qu’au lieu de combattre la
société
actuelle, tout en préparant la culture à venir sur le solide terrain
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’un des rapports fondamentaux qui définissent une
société
. C’est reconnaître enfin que ce rapport n’est plus perçu par un chacu
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n qu’on vient de lire ne saurait être celle d’une
société
équilibrée. Où est l’esprit ? Quel est son champ d’action ? Doit-il a
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ence qui recherche le but et les conditions de la
société
. La révolution de l’avenir sera le triomphe de la morale sur la polit
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ythe nietzschéen sournoisement introduit dans une
société
marxiste, dont il trahit les présuppositions fondamentales. Ainsi l’i
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dans les deux cas, — bien que le but soit ici la
société
prolétarienne, et là la nation allemande, — qui sont censées configur
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e, un grand mythe de communauté : nation unie, ou
société
sans classe… Si l’on veut comprendre ce temps, et l’ère nouvelle, inc
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logie, qui affirme à nouveau l’Église en tant que
société
de ceux qui croient, et qui revient à la doctrine du bien commun. Ell
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nnie d’un seul, et non le gigantisme national. La
société
doit être un corps, non pas une construction mécanisée. Et la santé e
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son œuvre. Rien n’est plus redoutable pour notre
société
que le regard tranquille, apparemment modeste, d’un homme que son mét
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t à cette scandaleuse opposition, créée par notre
société
, entre les deux sens du mot « vivre » : gagner sa vie et mériter sa v
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philosophie, ou de morale, mais en refaisant une
société
où l’art exerce une fonction nécessaire. Toutes les grandes littératu
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s que Paris a, lui aussi, son métro. » — Égalité,
société
sans classes ? « Comment n’être pas choqué par le mépris, ou tout au
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fois, sans tricher. Mais non : pour condamner une
société
, il faudrait plus de charité réelle, c’est-à-dire plus de radicale du
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du seul antifascisme digne de ce nom. « La seule
société
pleine de vie et de force, écrit G. Bataille, la seule société libre
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e de vie et de force, écrit G. Bataille, la seule
société
libre est la société bi ou polycéphale qui donne aux antagonismes fon
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écrit G. Bataille, la seule société libre est la
société
bi ou polycéphale qui donne aux antagonismes fondamentaux de la vie u
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mais limitée aux formes les plus riches. » Cette
société
sans tête unique, c’est à peu près ce qu’en termes moins romantiques
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voulez-vous ! À la loterie, dans les tombolas des
sociétés
, n’importe où, elle est sûre de gagner quelque chose à tous les coups
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ique sont notre vraie réalité, ce serait jeter la
société
dans l’anarchie la plus sanglante. La politique ne doit jamais partir
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era-t-elle pour nous qu’une évasion hors de cette
société
maussade, défaite, un alibi pour la mauvaise humeur de ceux qui n’ont
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le jour, par profession, s’étend ainsi à toute la
société
, à tout cet embrouillamini de responsabilités, d’inconsciences, de mi
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y avoir encore une orthodoxie de la personne, une
société
et une économie qui la soutiennent, et qu’elle maintienne. (La questi
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morales s’affrontaient au Moyen Âge : celle de la
société
christianisée, et celle de la « courtoisie » hérétique. L’une impliqu
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qu’elle joue un rôle restreint dans la vie de nos
sociétés
. Ce qui explique, à mon sens, l’état présent de dé-moralisation génér
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nce : d’une part, une morale de l’espèce et de la
société
en général, mais plus ou moins empreinte de religion — c’est ce que l
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tionnelle des relations entre les sexes, dans une
société
libérée des contraintes de classe et d’argent. D’autres enfin s’effor