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e admirable simplification : « Sur quoi repose la
société
? Sur les hommes et les moyens grâce auxquels on cultive, on fabrique
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ie, qu’elle touche à tout dans l’homme et dans la
société
. Elle a l’absence de scrupules des gens qui ont une mission urgente à
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istoire de la vie d’une femme, et de la vie d’une
société
aujourd’hui presque disparue, « roman-fleuve » que deux dates limiten
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. Il ne s’y passe rien de plus que ce qu’admet la
société
anglaise. Tout le drame est intérieur ; la passion ne s’y manifeste q
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e l’action, encore que l’évocation de cette haute
société
anglaise ne soit pas dépourvue d’un charme qui attirera certains lect
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n question les exigences les plus terribles de la
société
insulaire, possède un sens critique assuré qu’elle applique non sans
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volonté de fer, lorsqu’on tombe dans la lie de la
société
. Le jour des funérailles, Eiichi essaya de garder tout son sang-froid
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grand public allemand. Il est bien naturel qu’une
société
qui jouit d’une relative sécurité cherche son divertissement dans des
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qui a été fait. Toute loi qu’on découvre dans la
société
humaine repose sur le principe démissionnaire par excellence du déter
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e. Nous avons oublié ce fait très simple : que la
société
doit être composée d’hommes réels. Nous avons tout calculé, sauf ce q
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c’est la réponse de l’Évangile. Faites toutes les
sociétés
que vous voudrez, bouleversez les institutions, organisez le monde pa
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trainte ou dans la liberté, vous ne ferez pas une
société
si vous n’avez pas, avant tout, retrouvé le rapport primitif, le rapp
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ard du voisin, une façon plus commode de vivre en
société
. On a transporté dans l’histoire cet amour qui doit être un acte, une
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e notre destin personnel, et fonde aussi la seule
société
possible. Ne nous y trompons pas : l’acte de la miséricorde, c’est l’
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nts » — comme disait Nietzsche — qui domine notre
société
. 43. On trouvera dans les excellents articles d’Henry Corbin, publi
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ur Général de la Cour, le favori élu par la bonne
société
; il paraît devant une assemblée choisie d’élus, et prêche avec émoti
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races, à l’histoire (ou plutôt à l’évolution des
sociétés
), à la révolution, au capital, au jugement de l’opinion publique ; no
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la collectivité et l’individu dans le plan de la
société
. Et de même que l’œcuménisme retrouve la position spirituelle central
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se recrée le vide social. Quelle sera la nouvelle
société
? En ce point crucial de l’histoire — dans une situation qui rappelle
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t, elles constituent bel et bien les germes d’une
société
véritable. Elles ont leur organisation sociale, leurs chefs locaux, l
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et entretenus. Absurde, impossible et réelle, la
société
stato-nationaliste a pour seule vertu d’être là. Écoutons Baudelaire
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nir, mieux : c’est le faire. La décadence d’une
société
commence quand l’homme se demande : « Que va-t-il arriver ? » au lieu
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ns prévisible du monde, qui est la vitalité d’une
société
. Mais il nous faut pousser l’analyse sur nous-mêmes : que choisissons